L’aube n’allait pas tarder à ce lever, le ciel marine devenait de plus en plus clair, laissant percevoir une belle journée en perceptive. Rome était plutôt calme, ce qui m’étonnait assez pour un mardi soir, bien qu’ici chacune des nuits étaient plus folle les unes que les autres. J’avais passé la mienne, en dehors de l’école, dans une soirée chez une fille que j’avais rencontré quelques heures auparavant, elle se nommée Jena, jeune étudiante en mannequinat, je lui prédisais un avenir brillant dans ce domaine, elle avait l’allure et le glamour pour. C’était une fille très belle, blonde aux yeux bleus, silhouette de rêve et un petit accent italien ce qui la rendait encore plus séduisante. OSEF, elle m’avait invité après que nous avions sympathisé dans la galerie commerciale. C’était ça aussi Rome un perpétuel amusement, des rencontres en tout genre qui avait ou non leur importance. La soirée c’était déroulé dans son appartement tout près de la plage, bien que la moitié des personnes ait fini sur la plage ou même dans l’eau. Il me semblait d’ailleurs y avoir moi-même fait un saut. Bien que les souvenirs étaient encore vagues. J’avais sans doute un peu trop abusé de la boisson même si je restais toujours raisonnable. Je quittais la soirée au alentour de trois heures trente peut être quarante, je ne savais pas exactement. A cette heure les taxis n’étaient pas totalement présents, mais je me fis raccompagner par un garçon charmant à qui je semblais avoir plu. Jared de son nom. Nous firent un petit détour par le grand boulevard ce qui au fond m’avait semblé bien plus rapide

Je franchis le seuil de la porte de ma chambre un bon quart d’heure plus tard, au alentour de quatre heures moins dix, quelques choses comme ça du moins. Je n’avais pas réfléchi, et je m’étais directement rendu sous une douche glaciale, histoire d’enlever l’odeur de l’alcool et de la fête sur mon corps. Cela fut rapide, je n’étais pas du genre à passer plusieurs heures sous la douche, au contraire je préfère la simplicité simplement. J’attrapais un short et débardeur blanc, je séchais le plus rapidement du monde mes cheveux avant de me rendre dans ma chambre et d’avaler un verre de lait. Je me glissais dans mon lit quelques secondes, avec l’envie profonde de dormir quelques instants avant de me rendre a la radio. Plusieurs longues secondes passèrent sans rien, je n’arrivais à rien, n’y a dormir, ou a me reposer simplement. Je pensais à Lily, a son père et à ces soucis ce qui me faisait souvent penser au mien. Après quelques bonnes minutes de sommeil, l’envie de voir si tout allait bien était plus fort, c’était surement mon coté protecteur et ami qui me poussait.

D'humeur amusée et rayonnante, je pris la voiture jusqu'à la villa des Matthews. Je connaissais la route suffisamment bien pour ne pas me perdre. Je vivais à Rome depuis si longtemps que j'aurais presque pu dessiner le plan de la ville à main levée. C'était une battisse magnifique, à la fois moderne ancienne, j'appréciais le coté château de sa maison. Je garais ma voiture dans l'allée principal avant de prendre mon sac sur le siège passager et de me marcher jusqu'à la porte. DING DONG dit le bruit de la sonnette. Quelques secondes plus la tard la porte s'ouvrit Tu n'es pas Lily toi cela sorti tout seul sans que je puisse le contrôler, je repris mes esprits. C'était un homme beau ce n'était pas à nier je cherchais dans mes souvenirs, je l'avais croiser ou. Mes yeux se plantèrent dans les siens et je repris C'est toi ... je ... tu t'es enfuis comme un voleur pas besoin de préciser le matin après notre nuit ensemble.

C’était il y a quelques semaines, ou quelques jours, en réalité je perdais vite la notion du temps en ce moment mais cela n’avait pas tellement d’importance. Comme souvent j’étais de sorti, profitant amplement de ma jeunesse, je me refusais une vie monotone, longue et sans intérêt j’avais besoin de peps, de couleur et de rencontre. C’était dans l’un de ces bars à la mode, ou tout les jeunes se retrouvaient et ou l’alcool coulait à flot. Ce soir la il était devenu mon meilleur ami, à mon souvenir j’avais du avaler une bonne dizaine de shooter de téquila et encore le nombre était sans doute réduit. J’avais une robe rouge que j’avais achetée chez Sabrina Landro. Enfin cela avait vite ressemblais à un détail sans importance puisqu’elle avait vite fini sur le sol de ma chambre. Je l’avais vite repérer m’étonnant d’ailleurs d’avoir été la première ou alors il avait du en repousser plusieurs. C’était dans le genre homme sexy l’un des plus beau et encore je me montrais assez douce dans ces mots, en réalité il était ... orgasmique. Ni une ni deux, je m’étais présenter, de mon vrai non bien sur, je n’étais plus une de ces gamines qui mentait sur leur âge, leur nom ou je ne sais quoi encore. Bien que le mensonge soit ma spécialité. Mais c’était bien sur très gentil comme mensonges ... ou pas d’ailleurs. OSEF, je m’égare j’avais très vite fini dans son lit, en réalité dans le mien, mais c’était un détail sans importance. Cela avait été une nuit délicieux dans tout les sens du terme. Puis au matin, il était parti sans un mot, ni même un de ces petits papiers stupides que l’on voyait dans les films. C’était juste rien, je m’étais demandé pendant une seconde ce que je fichais dans mon lit nu mais les flashes de mes ébats sexuel avec Bryan de son prénom m’était vite revenue.

En l’ayant face à moi je revoyais des petits morceaux de nos ébats qui avaient été torride. Je ne pus m’empêcher de sourire en le voyant, j’aurais pu le frapper certes c’était d’ailleurs ce que beaucoup de fille aurait fait mais je m’en fichais, je le connaissais a peine, et j’étais plus du genre aventure sans lendemain que je suis folle de toi auprès d’un soir « Et comment » d’humeur joueuse je l’embrassais sur le pas de la porte, je me fichais de qui pouvais nous voir, après un baiser sensuel je rentrais dans la villa que je pensais appartenir à Lily, la cherchant du regard je décider de parler « Lily Matthews ... dépêche toi le beau gosse dans ton salon va partir sans te laisser un mot » je ne me doutais pas une seconde que c’était en réalité son frère. Je déposais mon sac sur le meuble du salon avant de le regarder avec le sourire, bon dieu ce qu’il était sexy. J’aurais presque pu lui sauter au coup ... attention j’ai dit presque, je sais me tenir tout de même.

Je réalisais que Lily n’avait pas toujours pas répondu, tournant ma tête je tombais sur une photo de Lily et de Bryan, je compris très vite c’était comme un flash pour moi, c’était son frère, quelle idiote pensais-je mais en réalité cela n’avait pas réellement d’importance « C’est dont toi le frère de Lily ... elle avait oublié de me dire que tu étais si sexy » je jouais c’était quelques choses que je métrisais et dont j’aimais m’amuser après tout la vie est faite pour ça non ?

Le mythe de Prométhée, qui dérobe aux dieux le feu sacré de la connaissance, témoigne d'un certain désir de l'homme de dépasser sa condition et de porter son désir justement sur ce qu'il ne pourra jamais obtenir : le désir étant justement ce qui ne se satisfait pas de l'obtention de son objet. En effet, le désir meurt et renaît sans cesse. Ainsi, le désir est insatiable (on pourra se référer ici à Dom Juan. Il est donc presque logique que l'impossible fasse l'objet d'un désir, comme si l'impossible était par essence l'objet, l'horizon de tout désir. Comment rendre raison de ce paradoxe d'un désir voulant et ne voulant pas sa propre réalisation ? On le sait sitôt prise, la proie prise est méprisée. Le défi que représente une impossibilité technique pour toute intelligence, et l'attrait de l'interdit auquel renvoie l'interdit moral suffisent-ils à en rendre compte ? En premier lieu, on désire l'impossible pour le rendre actuel, réalisé; dans le second on le désire sans pouvoir ou même vouloir le rendre possible : l'homme ne serait-il pas un Dieu si tout lui devenait possible ? Aussi l'attrait qui régit ce désir semble profondément paradoxal : désire-t-on l'impossible pour le rendre possible, ou au contraire pour manifester une impossibilité presque salvatrice ? Rousseau dira: "Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. On jouit moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère, et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. Le fruit des mes désirs se caractériser sous Bryan.

Je ne pensais pas tomber sur lui en arrivant ici, au contraire il était la dernière personne que je pensais voir. En réalité je m’étais dit que j’allais le recroiser un jour mais sans plus et notre histoire n’avait jamais du être sérieuse, profiter était le mot d’ordre. Alors le revoir ou non ne m’étais pas venue à l’idée. Mais l’avoir face à moi faisait remonter certains désirs. Je ne pensais même pas à Lily, si elle débarquait elle me tuerait sans doute mais j’aurais trouvé la situation plus amusante qu’autre chose. Bryan était le genre d’homme à faire tomber les femmes j’en étais persuadée et il m’avait faite tomber une fois et une seconde fois sembler arriver bien que cette fois nous étions tout les deux sobres. Je ne pus m’empêcher de sourire à sa phrase, un sourire de malice et séducteur s’afficha sur mon visage.

« Hum alors dans ce cas ... Tu me fais visiter ? » C’était bien sur très ironique, je me fichais un peu du nombre de pièce ou de leur couleur, ma seul préoccupation c’était apollon. Je me laissais totalement faire lorsqu’il me plaque littéralement contre le mur ; je ne quittais pas son regard. Je lui affichais un sourire lorsque mon dos toucha le mur, puis sans hésitation je profitais de son baiser et je lui rendais avec fougue et passion. Mes mains glissèrent sur son corps alors que je lui ôtais rapidement son t-shirt m’attardant un instant sur les détails de son corps « Après réflexion oublions la visite » une nouvelle fois nous allions nous amuser.

Un dernier regard mes yeux, une dernière étreinte mes bras, et vous, mes lèvres, seul le souffle vital, scellez d’un légitime baiser cet éternel pacte avec une mort vorace Maman répétait sans cesse « Chérie l’amour, l’acte en lui-même doit être le fruit du bonheur, ne l’oublie jamais trésor » cela fut toujours si simple pour elle. A l’époque il y avait tant de coutume que je doute qu’elle est connue un autre homme que mon père, et le jour ou je lui avais annoncé ma sortie officiel avec mon petit ami de l’époque elle avait assez mal réagit, ne comprenant pas que j’étais simplement amoureuse de lui et que je désirais chaque parcelle de son corps et son cœur. Le souvenir du jour ou il avait franchi ma porte pour la présentation à mes parents restait encore gravé en moi, l’accueil froid de ma mère face à cet homme et moi encore peureuse face à cela. Et ce soir la je m’offrais à lui. J’avais toujours vu le sexe comme un jeu, mes relations sérieuse n’était pas très longue, au contraire j’étais plutôt coup d’un soir et aventure sans lendemain, je ne cherchais ni le grand amour ni une de ces histoires magique et sérieuse que l’on voyait dans les films ou série de nos jours. Je voulais juste profiter.

Je ne faisais en compagnie de Bryan. Sentant son corps contre le mien, le désir que je provoqué en lui et celui qu’il me rendait. Je devais désireuse, j’avais très envie de lui et je ne le cachais pas. Je senti son sexe se durcir près de moi ce qui n’était pas fait pour me déplaire. Alors que nous échangions un baiser, je me laissais guider dans ces mains jusqu’à finir dans le canapé de Lily. Je n’ajoutais rien, je me fis glisser jusqu’à son corps, me plaçant au dessus de lui. Il provoquait mon désir c’était sur et certains, je l’embrassais tendrement avant de profiter totalement et sensuellement de lui.

[Bande de curieux, ceci est censuré vous êtes trop jeune]

Ce fut délectable totalement, jouissif même, c’était même meilleur que la première fois peut être à cause de mes totales capacités et de la dose d’alcool que je n’avais pas ingérer. Il alluma sa cigarette ce qui ne me déranger pas du tout. Je n’avais jamais aimé apprécier ça plus qu’autre chose mais je l’acceptais sans aucuns soucis. Poliment je refusais en lui affichais un sourire. Je passais mes mains le long de son torse y déposant un baiser avant de me redresser.

-Je suppose que Lily ne dira rien si je lui emprunte sa douche Je me levais attrapant le drap blanc que je déposais le long de mon corps, non pas que j’étais gênée de me montrait nue devant lui bien au contraire mais c’était un réflex habituel -Tu m’accompagne ? » demandais-je avec une sorte de malice sur mon visage. Je supposais qu’elle se trouvait à l’étage, c’est pour cela que je commençais à monter les escaliers.

HS : Je suis désolée, je n'ai pas eu la notification de ta réponse :O

Mon désir vers Bryan semblait bien au-delà, c’était mon inconscient. Je ne veux pas digérer ou respirer, je ne veux pas non plus, du moins pas toujours, oublier ou bien retenir un fait en ma mémoire ; tout cela s'effectue automatiquement, presque à mon insu. De même, lorsque l'intensité de la lumière diminue, la pupille de mes yeux se dilate sans que je ne m'en rende compte : ce phénomène est dit inconscient. Les réflexes, les automatismes, les habitudes, en effet échappent presque toujours à la conscience. Mais de ce qu'un phénomène soit « inconscient » ou qu'un individu n'en ait pas la moindre conscience, cela reste à prouver. Une distinction linguistique s'avère utilise au préalable. L'inconscient sous la forme d'adjectif ou bien de substantif. Ce n'est que sous la seconde acceptation que l'inconscient acquiert le statut de concept et détermine un sentiment ou une pensée. On parle de psychisme inconscient : un autre Moi en moi qui ne permet aucune intervention de ma part. D'un point de vue à l'autre, la valeur et le sens diffèrent, il s'agit alors d'une distinction conceptuelle sur la notion d'inconscient. Le substantif offre une autre perspective qui va à la suite ou à l'encontre de la première acceptation. Le problème que suppose l'approche à l'inconscient mérite certes une étude particulière. Il s'agit de se pencher sur le concept de l'inconscient comme une hypothèse dans toute la difficulté que suppose le fait même de le penser, de le nommer voire de l'interroger et de l'affronter enfin, au concept de conscience. Mais il y avait autre chose qu’un simple désir banal de sexe. Bryan n’était ni un morceau de viande, ni un défouloir, j’ignorais beaucoup de chose sur lui, mais cela n’avait pas tant d’importance, ce moment partagé avec lui était délicieux, c’était agréable et doux, ce n’était pas qu’une sauterie, j’aurais pu être son amie par la suite.

Dans toute ma grâce et ma douceur je grimpais les escaliers de Lily, espérant y trouver la salle de bain au bout, avec pour compagnie mon amant. Il me rattrapa plus vite que prévu en réalité. Je senti l’odeur de sa peau et de sa cigarette approché de moi ce qui au fond n’était pas pour me déplaire ; je le laissais embrassé ma peau nue me déposant sur son corps nu à mon tour. Il joua avec mon corps ce qui n’était pas pour me déplaire. Je senti mon corps frissonner et frémit sous ses mains ce qui était encore plus agréable. Je laissais ma tête tomber en arrière sur son épaule profitant du plaisir qu’il me procurer. Je fini rapidement par sourire, me laissant à lui encore une fois. Je fini rapidement par me retourner vers lui, l’attirant à moi. Je déposais mon dos sur le mur avant de l’attirer à moi, laissant tomber le drap qui me recouvrait.

« Tu es bien plus que désirable » je sentais le feu me remplir une nouvelle fois, je le désirer encore. Je sentais que cette journée aller être des plus agréables. Mes mains parcourir son corps, s’attardant délicatement sur ces parties. Au moment ou je senti mien, je recommençais à grimper les escaliers en sa compagnie. Nous arrivâmes finalement devant la salle de bain de façon un peu sauvage, j’imaginais Lily me tuais pour faire ça mais cela en valait la peine. Encore une fois je me retrouvais sur le mur de marbre froid, jambes autour de sa taille, de façon très sensuelle.