Le début de journée commençait à peine, le midi venait sans doute de se lever. Je me trouvais dans l’un des cabarets des Landros, en compagnie du père de Diane Landros, Paolo. La pièce était pleine de monde et j’aimais l’ambiance et j’aimais cet endroit. Je me trouvais dans le bureau en compagnie de Paolo, depuis ma plus tendre enfance je l’avais considérer comme un oncle, à la mort de mon père il c’était montré très compatissant avec moi. J’étais prête à beaucoup pour les Landros, et je l’avais prouvée plus d’une fois, et cela avait commencé quand j’avais tué pour la première fois à 18 ans. Il n’avait jamais vraiment voulu que je tue avant ma majorité c’était une raison que j’avais compris, c’était sa forme de protection. Après un petit rire nous passâmes aux sujets du jour, c'est-à-dire ma mission, je savais que quand je venais et qu’il me demandé personnellement c’était soit pour une mission, soit pour discuter de quelques choses de personnel.

- Azzura c’est un plaisir de te voir comment vas-tu aujourd’hui ? J’ai une mission pour toi ... La mission c’est celle-ci Lukas L. Moretti.

Il me tendit une photo, à première vu c’était un garçon sans problème. Les cheveux d’un châtain clair à la limite du blond. A première vu il mesurait un mètres quatre vingt peut être un peu plus ; des yeux d’un bleu transandin, il avait un regard à faire fondre n’importe qu’elle fille sans doute. Un visage pâle mais il était beau ce n’était pas quelques choses à nier, je l’imaginais déjà avec plusieurs filles, je le voyais comme un bourreau des cœurs. Je voyais déjà la chose de façon assez simple. Il me laissa quelques secondes le temps de regarder la photo et de lire les petites informations sur lui. Il était Italien à première vu, j’en déduis ça bien sur à son identité, il était dans les Léonidas sans doute. Rien que de pensais à eux me rendait un peu folle, je détestais les Léonidas plus que n’importe quoi d’autre, sans que je n’eu rien demandé il m’avait ôté mes parents et j’étais d’une certaines façon privé d’une chose, privé de ma famille. J’allais les tuer, un par un s’il le fallait mais je les tuerais et ceux sans aucun scrupule.

- Alors tu es des nôtres Azzura ?

La question était inutile. Je serais toujours des leurs et ceux peut importe la mission. Je n’avais nullement peur de ce que demain serait fait. La mission serait sans doute bien accomplie, j’allais le séduire, l’emporter et le tuer. C’était clair, j’avais déjà des idées mais j’ignorais encore certains détails. Nous parlions encore pendant plusieurs minutes, puis je le quittais poliment, en échangeant des détails sur les futurs appels et moyen de nous contacter. Je sorti de son bureau et me rendit directement chez moi sans faire aucun détour. En arrivant chez moi, j’allumais mon ordinateur, celui du travail et pas le personnel. Je tapais dans le fichier principal le nom de mon client afin de trouver le plus d’information possible sur lui. Je lisais tout avec le plus grand attention, cherchant le plus de détail sur lui et je tentais de faire une sorte de profil type. Une bonne heure plus tard, alors que j’avais pas mal de chose sur lui, je me rendis en ville. J’avais fait ma petite enquête sur lui.

Je marchais dans la rue quand je l’aperçu. Je savais de suite que c’était lui, je l’aurais reconnu parmi beaucoup et je savais qu’il apprécier cet endroit. Je marchais le long des rives du lac, je réfléchis à peine quelques secondes sur la façon de l’aborder. Ce fut assez rapide. Dans le plus naturelle possible, je m’arrangeais pour lui rentrait dedans

-Oh excusez ma maladresse je suis désolée je lui offris un doux sourire avant de me présenter poliment - Je suis Azzura »

Depuis quelques temps maintenant j’avais une mission bien précise arrêté Azzurra B. Colleti mais je n’avais pas encore réellement prit le temps de faires mes petites enquêtes sur elle. En ré alité celle-ci était ma grosse mission et j’en avais des plus petites à côté que je faisais jour après jour. Je n’avais pas de temps précis pour celle-ci du moins d’ici un an maximum c’était sur mais pas dans les jours qui suit alors il est vrai que je prenais mon temps. Je devais avant tout l’arrêter mais si il était impossible car on me prévenu qu’elle était coriace je devais la tuer et ce ne serait pas la première fois bien sur quand je peux éviter de tuer les gens je le fait car je ne suis pas comme ça je déteste ça même devoir tuer de mes propres mains me rend malade mais faire la justice dans ce monde me rend plus heureux et c’est ce que je fais jour après jour quoi qu’il m’en coûte. Aujourd’hui j’avais d’ailleurs pour mission d’aller arrêter la vendeuse d’une boutique de vêtements car après avoir réunie des preuves celle-ci était coupable d’arnaque à ses clients et je comptais me faire passer pour l’un d’entre eux. Arrivant devant le magasin, je fis le client intéressé par les vêtements de classe pauvre, me faisant passer pour tel et elle me proposa de la marque à pris cassé, toujours intéressé faisant croire que j’en étais heureux, qu’elle est de la marque pour peu accepta son offre, puis je fis mon boulot de l’arrêter pour vente de contrefaçon et abus de confiance en faisant croire a des pauvres gens que c’était réellement de la marque alors que pas du tout. Je fis ça dans la discrétion et passa par l’arrière du magasin ou des renforts policier m’attendait et je leur passai le relais je ne pouvais pas sortir dans la rue avec cette femme arrêter car je me cache de mon job personne ne doit savoir qui je suis.

Je me changeais vite fait dans son magasin tout de même car je m’étais habillé comme un clochard enfin presque puis je sortis du magasin d’un air naturelle je repris mon chemin, le sourire au lèvre c’est ainsi que je suis à chaque fois que je suis vraiment fier de moi. Enfin là en l’occurrence ce n’était vraiment pas une mission très compliqué mais tout de même. Marchant main dans les poches et regardant un peu à droite à gauche, une jeune femme me bouscula je ne l’avais même pas vu venir celle-ci, alors je poussai un léger cri car j’étais plutôt surpris, il faut dire que j’étais un peu dans la lune repensant à ce qui c’était passé dans le magasin et je ne pensais vraiment pas à me faire bousculer. Je remettais ma chemise en place alors qu’elle s’excusait puis elle me dit je suis Azzura, ni une ni deux je relevais mon visage sur elle et la regardait dans les yeux, ce n’était pas croyable je ne l’avais même pas cherché qu’elle était venu à moi. J’en fus vraiment surpris et j’avais les gros yeux, mais c’était grillé il fallait que je me rattrape alors je repris un visage naturel et lui répondit :

Ce n’est pas grave Azzura. Je suis désolé d’avoir du vous regardez ainsi mais quand j’ai entendu cette magnifique voix il fallait que je vous regarde dans les yeux, pour voir si votre voix était aussi belle que votre visage et apparemment oui …

Bon ça faisait un peu le mec dragueur mais de la façon ou j’avais relevé le visage en entendant ce prénom il fallait que je fasse avec et que je détourne un peu le truc mais je ne mentais pas elle était vraiment belle et d’ailleurs ce visage me disait étrangement quelque chose et pourtant à part une photo d’elle je n’avais rien vu d’autre. Elle était belle et je sentais que cette mission aller se corser un peu non pas que j’allais tomber amoureux d’elle pas du tout je suis capable de contenir mes sentiments mais je ressentais quelque chose, je suis parfois comme ça j’ai des intuitions. Je la regardais en souriant, je ne devais pas la laisser partir certes je n’étais pas du tout préparer à la situation et à la mission mais après tout un bon flic c’est s’adapter même quand il n’est pas prêt et je comptais bien le faire.

Je m’appelle Lukas … Mais on m’appelle Luk’

Puis je lui pris la main et lui posa un délicat baiser, et oui nous sommes en Italie ici et cela peut être courant il faut savoir que les italiens sont très coureur de jupon et peuvent être très convainquant et très romantique, du moins gentleman serait le mot parfait pour les décrire, mais pas tous non après vous avez les italiens très machos …

Je peux vous offrir un verre en terrasse ?

Je ne me sentais jamais coupable de ce que j’accomplissais ici. L’Italie avait son coté magique et passionnée, beaucoup disait venir ici parce que cela représentait la ville de l’amour encore plus belle que Venise, c’était vrai parfois c’était quelques choses de beau l’Italie mais derrière ce coté magique se trouvait un coté aussi sombre qu’une mine de charbon. Chaque personne morte à cause de moi ou par moi était quelqu’un qui le méritait, je ne prenais pas le temps de me sentir coupable ou de regretter mon acte, au contraire, j’agissais et c’était tout. La première fois que j’eu appuyé sur la gâchette il est vrai que ce fut difficile, j’avais ressenti une sorte de boule au ventre mais rapidement elle c’était enfouie, c’était devenue ma mission, ma vie et ce que je devais être. Depuis j’avais tuée plusieurs fois, je n’étais pas le genre à compter exactement le nombre de personne que je tuer je trouvais un peu sans importance mais bon certains le faisait et je le respectais. J’allais devoir tuer Lukas, j’ignorais la raison de cela et je m’en fichais un peu. Je faisais une grande confiance à Paolo et si il me demandait quelques choses je le faisais un point c’est tout. Je n’avais pas encore réfléchi à la façon et au temps que j’allais mettre pour le tuer mais je le ferais le plus rapidement possible. Je n’aimais pas m’attarder sur les choses futiles mais je ne pouvais pas le tuer directement sans m’attirer les foudres des gens autour de moi, et c’était mieux de faire les choses bien non ?

Je lui offris un sourire un mélange entre le charme et la douceur. La séduction était un art que je métrisais très bien depuis un moment. Il faut dire que j’avais survit plusieurs formation pour être si je pouvais le qualifier ainsi une espionne parfaite et pas question de passer des heures devant les totally spies. J’avais suivit l’entrainement, du sport sans arrêt ce que je continuais encore d’ailleurs, c’était devenu un vrai style de vie, il y avait tout les tests psychologiques nécessaire et l’un des plus importants les entrainements aux armes et aux tirs. Et la séduction, j’avais suivit énormément de cours de psychologie, j’avais passé des heures à étudier les langages du corps, des gestes ou encore tout les choses qui me permettrait de comprendre l’être humain bien qu’il soit à mon goût un peu trop complexe. Je compris de suite que c’était un séducteur et cela me rendait la tache encore plus facile. Il était le genre d’homme sexy à vouloir pas mal de fille à ces cotés et je trouvais ça tellement intéressant. Alors que doucement je passais ma main dans mes cheveux m’offrant un visage à la fois angélique, doux et tendre je repris.

-Merci beaucoup ... Vous n’êtes pas mal non plus charmer et complimenter c’était tout de même intéressant. J’allais apprécier cette mission je le savais. Il se présenta et je fis comme ci je ne savais rien et que j’ignorais son identité. Il déposa délicatement un baiser sur ma main avant que je lui offre un nouveau sourire - Ce sera avec un immense plaisir une fois ce détails régler je marchais en sa compagnie jusqu’à une table près d’un petit café très agréable. - Ne le prenez pas mal mais j’ai l’impression de vous avoir déjà vu quelques pars

J’étais un commandent de police, des personnes j’en avais malheureusement tué, et j’en avais encore plus arrêté dans ma vie, car quand je peux éviter de tuer je le fais. Ce que j’aimais c’était rendre la justice au innocent, c’est pour cela que j’avais une passion pour mon métier mais devoir mettre des gens en prison, devoir les tuer n’étais pour moi pas une partie de plaisir. Je ne suis pas le genre de mec qui aime tuer et qui en prend un grand plaisir, chaque fois que je le fais j’ai une part de moi qui culpabilise car je me dis que chaque personne sur terre à le droit de vivre, chaque personne à le droit de racheter des erreurs. Bizarrement moi qui ne donne pas mon cœur à l’amour j’ai un grand cœur pour les humains… Je venais donc de faire la rencontre de Azzurra la fille qui était dans mes bouts de papier, une fille que je devais arrêter ou au pire des cas tuer et vu ce que je savais sur elle malheureusement la mort serait plus propice car je crois qu’elle ne sera pas une proie facile. Elle a l’air d’avoir un bon passé et d’être très maline et très doué. Je n’avais encore rien fait pour la rencontrer je n’avais pas de date précise pour l’arrêter, mais je le devais, j’avais passé des priorités qui d’ailleurs n’auraient pas du l’être car c’est une de mes plus grosses missions mais je savais aussi qu’elle serait dur c’est pourquoi je prenais mon temps pour la rencontrer je voulais avoir le plus d’information possible à son sujet mais maintenant que les présentations étaient faite je n’allais plus reculer et j’allais aller de l’avant la mission était sur le point de commencer.

Après l’avoir complimenté je venais de lui offrir un verre ou un café peu importe en terrasse et j’en fus ravis quand celle-ci accepta ma proposition, je lui fis un de mes plus beaux sourire et nous commencions à marcher et très vite d’ailleurs nous nous installèrent en terrasse il faut dire qu’ici on peut trouver un café n’importe ou. Et oui même non loin du lac il y avait un café, il y en avait qu’un par contre dans cette endroit mais c’était déjà bien, une belle vue sur le lac le propriétaire devait faire fortune ici. Je commençais à commander un café pour ma part et je la laissais prendre ce qu’elle voulait auprès du serveur puis je lui dis :

Je ne crois pas que l’on ce soit déjà vu je me serais souvenu d’un aussi beau visage …

Mais au fond de moi-même si je l’avais déjà vu en photo il est vrai qu’elle me disait quelque chose, puis ce prénom, ce n’était pas la première fois que je l’entendais. Regardant vers le lac j’eu une sorte de flash back, de mon enfance d’une petite fille avec qui j’avais passé du temps et avec qui j’avais joué comme un fou en plein cœur de Rome dans une fontaine, on se mouillait et intérieurement je la reconnu oui c’était elle la petite fille que j’avais côtoyé, ce visage me disait quelque chose et cela ne pouvait être que ça cette petite fille si belle avec cette longue chevelure et ce sourire. J’avais du mal à y croire. J’aurais pus lui en parler mais mon but, ma mission me fit garder le secret intérieurement je me voyais mal me remémorer le passé avec elle en sachant que le pire allait arriver plus tard, dans les semaines ou mois je ne sais pas à venir. Mais bizarrement cela me fit un pincement au cœur je me rappelle de nous plus jeune enfant si innocent, si délicat, la pureté de l’enfance et au jour d’aujourd’hui nous en étions arrivé là. Mais je devais effacer cette image de ma tête et me dire que cette petite fille n’était plus la même qu’elle avait changé et ce que je faisais c’était bien et normal. Mais j’avais ce visage qui me trottait en tête et ce fameux moment passé avec elle à la fontaine et l’on joué comme des fous, comme deux enfants. Mais la vie est faite ainsi et comme je suis du genre à culpabiliser assez vite il fallait que je fasse en sorte d’oublier, pourquoi m’avait elle dit qu’elle avait l’impression de m’avoir déjà vu, sans ça je n’aurais peut-être pas fait le rapprochement et voilà que je m’étais interrogé.

Alors Azzurra que faite vous dans la vie ?

Il fallait que je commence à poser des petites questions sur elle, lui montrer que je m’intéresse un peu à sa vie et que je n’étais pas là juste pour la mettre dans mon lit à force de la complimenté. Mais au fond il est vrai que c’était plutôt une belle femme avec un corps de rêve, le genre de femme qui pourrait me plaire, mais en mission j’évite de coucher avec celle avec qui je sais que cela se passera mal du moins j’essaie j’ai du déraper une ou deux fois mais les sentiments je l’ai met de côté, je ne tombe pas amoureux. Le serveur apporta notre commande et complimenta au passage Azzurra en lui disant qu’elle était vraiment magnifique, à décidément ses Italiens nous sommes tous des dragueurs dans l’âme. J’eu un petit rire sournois et regardant le serveur je lui dis :

Je ne vous dérange pas ? Madame et avec moi alors vous prenez les sous et vous vous cassez.

Je lui donnais un billet de 5 euros lui disant de dégager vite fais si il y a bien un truc que je n’aime pas ce sont les mecs qui draguent les filles alors qu’elles sont en compagnie elle aurait été ma petite amie je crois que cela aurait été la même enfin non il aurait surement fini avec un coquard puis je lui dis :
Je vous que partout ou vous passez vous faite des ravages…

- C’est très gentil de votre part

Je m’y quelques secondes à réfléchir, j’avais une excellente mémoire et je savais ce que je disais et ce que je faisais. J’avais toujours ce besoin de savoir les choses et d’avoir raison. J’étais un peu fière au fond mais je l’assumais totalement. Mon regard se perdu dans ces yeux pendant quelques secondes, je cherchais dans ma mémoire, dans mes souvenirs ou est-ce qu’ils se trouvaient, je connaissais ce regard je le savais mais je devais encore trouver ou. Au bout de plusieurs secondes je fus directement projetée dans uns de mes plus lointains souvenirs, c’était les touts début de ma vie. J’avais cinq ans, j’étais encore une petite fille insouciante et j’ignorais encore beaucoup de chose sur le monde. Après un été passais en France, dans l’une des plus belles villes du bas de la France, j’avais passé un été à Bordeaux, dans un petit village sympathique ; j’aimais le coté glamour et délicat de la France et je raffolais déjà de leur cuisine. Je n’avais passé que quelques jours à Cannes, malheureusement, cette ville me rappelait beaucoup de chose, ma naissance et les quelques jours que je découvrais. Bref, je passais ma nouvelle année dans l’une des classes de maternelle, j’avais comme toujours une grande impatiente, j’aimais l’école, j’aimais vivre dans l’insouciance, et j’aimais la vie simplement. Mon père m’accompagnait cette fois ci, ce qui était rare, il avait toujours peu de temps, bloquée par le travail mais c’était une chose que je comprenais tout à fait. Les élèves de ma classe semblaient tous adorables, j’en connaissais déjà quelques un de mes années précédentes, mais à l’époque les amies et connaissances étaient différente, la douceur d’un enfant était quelques choses d’assez formidable à mes yeux. A l’époque j’étais une jeune femme très douce, très gentille, mais aussi très naïve. La maitresse dont j’oubliais totalement le nom à chaque fois fit l’appel et après quelques heures je me rendais en récréation. J’étais accompagner d’une amie mais dès que je fus seule une seconde un bande de garçon déjà immature et vulgaire, et comme toujours ils prirent un plaisir à m’embêter et à m’en faire voire de toutes les couleurs. Du moins jusqu’à ce qu’un garçon aux regards bleu, profond vint à mon secours, sous ses allures de Superman.

Je revoyais ce souvenir et ces yeux étaient ceux qui se trouvaient en face de moi. Il était ce garçon, celui de mon souvenir j’en étais désormais totalement sure. Il me posa rapidement la question sur ma vie, je ne pris pas très longtemps à réfléchir à ce que je faisais puisque je le savais parfaitement. Je ne mentais jamais sur ma profession, j’en étais très fière.

- Je suis animatrice sur ROMA FM » c’était la station de Rome, celle que tout le monde écouter. Elle était très populaire et j’étais très fière d’en être l’une des principales animatrice, en compagnie de Lily et d’Al. L’avantage dans la radio, c’était non seulement une petite notoriété mais j’exposais mes idées sur les Landros et Léonidas et je ne privais pas des les critiquer tout les deux. Je ne prenais jamais partie et au contraire montrait une sorte de désinvolture aux sujets des clans. J’aimais je n’aurais avoué être une Landro à ma façon, je mentais et manipuler à la perfection. - Et vous que faites vous ? » demandais-je à mon tour par pure curiosité.

Un autre avantage de l’Italie, les hommes Un serveur aux allures de playboy arriva, le charme de l’Italie, il ne se priva pas pour me faire un compliment auquel je répondis par un sourire. Ce n’était pas spécialement moi, mais chacune des femmes d’ici trouverait forcement un homme qui lui ferait du charme, ce n’était pas la première fois et ce ne serait pas la dernier ; Les Italiens étaient de vrai séducteurs et ce n’était pas pour me déplaire. Lukas intervint rapidement, je me fis discrète pendant plusieurs secondes, jusqu’à ce que le serveur nous quitte. Je me concentrais de nouveau sur Lukas

- Ne me faites pas croire qu’aucune femme ne vous cour après Lukas

A chaque fois que je la regardais dans les yeux je revoyais cette petite fille et dans ma tête je me demandais sérieusement se qu’on avait fait pour en arriver là ? Des âmes, des innocents voilà ce que nous étions petit et maintenant nous en étions là j’avais une mission et je crois que ce serait la plus dur car elle me rappelait l’enfance, l’innocence, la douceur, l’époque ou tout problème de la vie n’a aucune importance. Je savais aussi que mon passé ne devait pas interagir dans le présent car cette jeune fille si douce si belle bien qu’elle soit toujours aussi belle avait changé et c’est pourquoi j’avais cette mission mais il est vrai que c’était dur ce s’imaginer ça… Comment une fille aussi douce et pure pouvait elle avoir comme avenir de finir en prison parce que je devais l’arrêter ou pire encore je devais la tuer bien sur ce que je ne savais pas c’est qu’elle aussi était en mission et qu’elle devait me tuer, qu’elle ironie du sort non ?

Elle m’annonça qu’elle était à la radio d’ailleurs la plus connu de Rome, je n’écoutais jamais la radio, je regardais les infos mais en voiture ou chez moi j’avais toujours mes cd pour écouter de la musique et la télé pour m’informer des nouveautés je n’écoutais que très rarement les chaines de radio que ce soit celle-ci ou une autre c’est pourquoi je n’avais même pas fait tilte, je ne connaissais aucun prénom des filles qui bossaient pour cette radio hormis Lily mais ça c’était pas le biais de mon meilleur ami qui était maintenant en couple avec elle. Elle me demandait à mon tour ce que je faisais dans la vie bien sur comme à tout le monde je ne disais pas que j’étais commandant de police ça c’était plutôt mon petit secret que je faisais tout pour garder pour ne pas avoir de problème alors comme à chaque personne qui me demandait je lui répondis :

Je suis informaticien, je me déplace chez les particuliers ou les professionnelles pour les aider.

Mais je ne m’entais pas car c’était ma couverture mais un peu mon deuxième métier, j’étais à mon propre compte est réellement déclaré dans les registres d’Italie, parce que je n’avais pas le choix pour couvrir mon réelle métier et de ce fait j’avais des appelles et je devais intervenir chez les gens sans oublier que j’avais un diplôme et des connaissances dans ce domaine je pouvais exercer ce métier sans aucun soucis.
Alors que le serveur nous avait servit je l’avais un peu envoyer balader, non pas parce que j’étais jaloux, mais je n’aimais pas trop les gens qui draguent les femmes accompagnés d’un autre homme, certes je le fais mais que en compagnie de mon meilleur Amie Léandro et à chaque fois c’est pour un but précis provoquer la bagarre oui on est un peu comme ça lui et moi pour s’amuser on est vraiment prêt à n’importe quoi mais sinon en règle général je ne drague jamais une femme accompagné et c’est pour ça que j’avais réagit ainsi elle me demanda alors si aucune femme ne me faisait la cour ce qui me fit légèrement sourire et je lui répondis pas la même occasion :

En faite si des femmes et d’ailleurs même des hommes pour être honnête …

Je me mis à rire mais le pire c’est que c’était vrai pourtant sérieusement je n’avais pas une tête de gay ? Ca ce voyait tout de même que j’aimais les femmes ? Enfin peu importe je savais par qui moi j’étais attiré et ce n’était que les femmes et les jolies d’ailleurs. Nous étions donc entrain d’apprendre à ce connaître puis sachant qu’elle faisait de l’animation à la radio pour mettre un peu d’humour dans notre conversation je lui dis :

Je vous mets au défi de me faire une dédicace à votre prochaine émission de radio alors Mademoiselle …

J’avais envie de la charmer, je ne savais rien de ses intentions alors je jouais le jeu à fond comme ci de rien n’était je savais que pour arriver à mes fins je devais y aller en douceur car d’après ce que je savais elle était plutôt bien entouré alors si je ne voulais pas m’attirer les foudres je devais le faire bien et pire encore il me fallait récolter des preuves car nous en avions mais que très peu et pas de très concrète pour passer devant un juge si j’avais la chance de l’arrêter sans aucun soucis mais sur ce coup là je ne pouvais être sur de rien. Puis pour en savoir un peu plus et continuant dans la séduction j’ajoutais :

Votre petit ami doit être très jaloux et méfiant si les hommes vous drague ainsi et ceux sans scrupule devant une présence masculine…

Etre animateur de radio offrait de nombreux avantages en dehors de la notoriété. C’était surtout une sorte de pouvoir à part entière. J’avais un contrôle sur beaucoup de chose et mon travail là bas était devenu quasiment essentiel à ma couverture. Je pouvais me moquer ouvertement, c’était agréable de se faire passer pour une neutre et de critiquer ouvertement les deux clans sans que personne ne puisse rien dire. Mais en dehors j’adorais ça, c’était vraiment le genre de boulot parfait, il y avait ce contact dans les yeux, pouvoir leur apporter des choses par le biais de quelques phrases ou d’une musique simplement. Je découvrais chaque jours des personnes plus intéressante que celle que j’avais vu la vielle, et j’avais un contact avec pas mal de gens, et parler, apprendre et connaitre les Léonidas étaient plus que positif pour la suite de mon plan. Il était prévu depuis très longtemps, depuis que j’avais compris que c’était eux qui avait tué mes parents, je m’approchais, analyser, et je les tuerais un par un jusqu’au dernier s’il le fallait et ce même si je devais mourir en même temps. J’avais cette boule de colère dans mon cœur qui me faisait avancer chaque jour. Informaticien, étrangement j’eu beaucoup de mal à y croire, je sentais une once de mensonge dans ces dires mais je fis comme ci je le croyais bien sure. Je lui offris un doux sourire en dégustant ma boisson. J’avais toujours du mal à accorder ma confiance, en réalité peut de personne l’avait réellement, les seules étaient presque tous de Landros. Il n’y avait que mon meilleur ami, un Léonidas, je savais qu’un jour je devrais lui dire la vérité ou le tuer mais pour le moment je me contentais de rester le plus naturel possible dans mes dires, pour qu’il ne doute pas une seconde de ma sincérité envers lui.

- Les hommes vraiment ? Je dois dire qu’en Italie et surtout ici à Rome rien n’est impossible alors pourquoi pas mais la vrai question est vous avez céder à un homme ou non ?

Je lui offris un sourire, la réponse m’importait peut, je voulais voir sa réaction, la façon dont il allait réagir, j’aimais taquiner. Il changea de sujet en me lançant au défi, je ne pus m’empêcher de sourire de nouveau, je relevais chaque défi sans aucun soucis, je trouvais ça tellement drôle les défis. J’avais eu à faire des tonnes de choses, mais une dédicace ou glissait un petit mot étaient en général le plus rependu. Je trouvais ça, très drôle et j’aimais en jouer. Je passais ma main dans mes cheveux, c’était toujours un charme de plus et j’avais lu pas mal de chose sur le mouvement des cheveux enfin OSEF. Je m’approchais un peu plus de lui avant de reprendre.

- Ce sera avec plaisir à une seule condition, tutoyez moi ...

J’avais l’impression d’être une vielle grand-mère. Je me faisais que très rarement à ce genre de situation de la langue, qu’elle soit Italienne ou Française. Car oui, je parlais aussi bien français qu’Italien, avoir vécu si peu de temps en France m’avait donné envie de découvrir ce pays, de partager leur culture. C’était un pays vraiment magnifique, délicat et très romantique, bien sur il fallait aimer ce genre de coté romantique et amoureux mais c’était tout de même une ville intéressante. Je ne pus que sourire, je n’imaginais pas réellement un garçon assez fou pour me supporter dans tout mon entier. J’avais beau être quelqu’un de très doux quand je le voulais, je ne croyais pas suffisamment, en l’amour et en la nature humaine pour tomber réellement amoureuse un jour.

- En réalité je suis célibataire, je n’ai trouvé aucun homme qui soit assez fou pour vivre auprès de moi » Je compris à sa façon de ma regarder, qu’il était célibataire et puis j’avais lu pas mal de chose sur lui, je savais donc ce genre de chose mais je préfère jouer quelques secondes de plus - Votre petite amie apprécierais t’elle que je vous invite à diner ce soir ?

J’avais joué avec un peu d’humour sur le fait que mêmes les hommes me draguaient oui je vous assure le pire c’est que c’était vraiment vrai, mais que voulez vous ce n’est pas pour autant que j’allais tuer ses hommes, certes je n’étais pas du tout intéressé par les hommes mais je n’étais pas homophobe et j’avoue que j’ai déjà joué de ça avec des hommes pour arriver à mes fins mais jamais sans rien faire et puis quoi encore il y a des limites à ce que je peux accepter pour mon métier et bien que cela pourrait être possible je crois que je refuserais toute mission m’impliquant d’être avec un homme non j’aime trop les femmes pour ça.

Bien que je sois plutôt heureux d’être un homme et très fier j’aime trop les femmes pour devoir me donner à un homme… Il n’y a que la femme qui puisse me rendre heureux, et quand elles sont aussi jolie que vous je suis encore plus heureux, l’homme ne me donnerait pas ça…

Je lui fis un petit sourire puis je venais de lui demander, du moins de lui lancer une sorte de défi oui j’étais très joueur et en toutes sortes de circonstances. Et il est vrai que lui demander une petite dédicace n’était pas non plus une mission enfin le terme défi et plus apprécié, très difficile. D’ailleurs elle accepta du moins elle acceptait si je la tutoyais, il est vrai que en général les gens peuvent se tutoyais quand ils ont à peu près le même âge, du moins on voit souvent les personnes âgé ce vouvoyez entre elle ou encore un jeune envers une personne âgé et nous les jeunes nous nous tutoyons mais j’avais toujours pris l’habitude de vouvoyez tout le monde sauf les enfants. Mais je crois que cela ne pourrait pas être de refus loin de là alors je lui répondis :

Pour une dédicace de votre part enfin … de ta part j’accepterais n’importe quoi, car ce serait un honneur qu’une femme comme vous, enfin toi me dédit quelque chose…

A la vouvoyez j’en avais presque du mal à la tutoyer décidément, certains pourraient penser que je suis un pure loveur à sortir des phrases « toutes faites » de séducteur mais c’était dans ma nature à aucune moment je me forçais de dire tel ou tel chose c’était du naturel mais honnêtement des hommes qui en faisait beaucoup trop j’en avais connus et cela en devenait pathétique en général je me comportais ainsi avec les femmes que je rencontre mais à la longue je perds ce bon langage pour laisser place au vrai naturel de l’homme, toujours dans la séduction mais moins poussé tout de même.

Mais si je te tutoie je veux que tu en face autant envers moi …

Oui je n’allais pas être le seule abroutis qui la tutoie alors qu’elle me vouvoie toujours au fond je crois que je me sentirais con. M’intéressant un peu plus à elle je faisais une petite allusion à un éventuel petit ami. J’avais fait des petites recherches sur elle mais j’avoue que je m’étais pas intéressé à sa vie privée, si elle avait des sœurs ou un petit ami et pourtant cela pourrait être intéressant pour moi mais comme je le disais je n’avais pas encore pris cette mission très à cœur voulant prendre mon temps mais comme elle était venu à moi je crois que maintenant j’allais pouvoir commencer réellement cette mission et découvrir un peu plus de chose mais plus besoin de chercher son statut matrimonial celle-ci m’annonça qu’elle n’avait trouvé aucun homme qui pourrait la supporter alors j’émis un petit rire et un sourire se dessina sur mes lèvres. Peut-être pourrais-je miser sur ce côté-là pour arriver à mes fins en devenant proche d’elle en passant du temps avec elle puis elle me demanda si cela dérangerait ma petite amie si elle m’invitait à diner. Alors je répondis avec l’humour car nous étions un peu partit sur cette lancé.

Il est vrai que peut-être que cela ne lui plairais pas en effet mais comme elle n’existe pas je pense qu’elle ne dura rien…

Je rigolais légèrement et oui moi aussi j’étais un pure célibataire qui n’avait encore jamais trouver et jamais chercher l’amour d’ailleurs, parfois quand je voyais Léandro mon meilleur ami poser et amoureux je me disais que je devrais peut-être songé à chercher à trouver l’amour à mon âge le temps passe vite mais j’avais tellement peur de faire souffrir ma futur, j’entendais tellement d’histoire des mafieux tuant les femmes des flics pour les attendre je ne le supporterais jamais je crois c’est aussi une raison pour laquelle je m’étais refusé de tomber amoureux, la peine et la souffrance même si parfois il faut savoir oublier le négatif pour vivre dans le bonheur.

Mais attention je te prends au mot maintenant je veux un rendez vous ce soir et en tête à tête bien sur pas de frère ou sœur ou amis toi et moi…

Plus je la regardais et plus je la trouvais belle mais cela ne devait pas interférer dans ma mission bien sur.
Ma question va te paraître plutôt indiscrète mais après tout on est là pour apprendre à ce connaître alors dit moi qu’elle genre de fille et tu avec les hommes ? Cap de répondre ? Oui j’aime les défis… Si je peux avoir la chance d’avoir une réponse tu pourras choisir ce que tu veux et je le ferais …
J’adorais jouer beaucoup trop d’ailleurs parfois au dépend de ma santé quand je devais me battre mais je n’étais pas quelqu’un de peureux j’aime jouer avec le feu.

Je n’aurais jamais pensé le revoir un jour, et encore moins savoir que je devrais le tuer de mes propres mains. Je n’avais pas spécialement voulu cette vie, avec tout ces mensonges, ces secret, tout cette mort et tout ce qui constituer ce que j’étais aujourd’hui. Mais c’était ma vie et je la prenais comme elle était sans vouloir en changeais. J’avais eu plus d’une fois la possibilité de partir et de m’enfuir, mais je n’avais jamais décidé de partir, j’avais continué chaque seconde de ma vie dans ma mission. Je m’étais déjà demandé comment serait ma vie si je n’avais pas choisit la voie de la mafia, celle du crime et celle de la vengeance. J’aurais très bien pu dire non, ne pas aller a leur rencontre et ne jamais faire partie des Landros, j’aurais peut être à vingt six ans, ce que beaucoup de personne aimerait avoir, un travail formidable, un homme à aimer, avoir un début de famille et une douce vie. Quelques choses de simple, de posé et de calme. J’aurais très bien pu, faire des études en médecine après le lycée dans l’une des facs les plus prestigieuses de France. Je rêvais de vivre en France de nouveau, c’était si beau là bas. Les quelques souvenirs de Cannes que j’avais était fantastique et je regrettais de n’y avoir été qu’une seule fois depuis mon arrivé en Italie.

« Ce sera avec plaisir alors, mais tu va devoir écouté la radio sans arrêt, si tu veux entendre le moment ou je parlerais de toi ... Tu a peut être une chanson préférer ? »

J’aimais accompagner de petite attention, cela faisait toujours non ? Je répondis positif à son condition sur la façon dont nous nous désignerons désormais. Je me souvenir encore mieux de lui désormais. Je fixais son regard en me retrouvant de nouveau dans un souvenir. C’était quelques secondes après son sauvetage dans cette classe de maternelle. Je m’étais assise sur le banc de couleur blanche, fixant l’horizon. Il était venu s’assoir à coté de moi, il c’était montré très gentil contrairement aux autres garçons de l’école. A cette époque je portais une petite robe de couleur rose, j’avais mes cheveux blonds coupés au niveau de mes épaules, j’avais une petite franche blonde comme le reste de mes cheveux. Je l’avais poliment remercié de m’avoir aidé quelques minutes auparavant « Je m’appelle Lukas et toi ? » j’avais répondu poliment en me présentant. « Tu veux être ma copine ? » c’était si facile d’être ami enfant. Je me souvenais encore que j’étais partie avec lui sans trop de question et que nous avions joué ensemble toute la journée, et ce pendant plusieurs années. Jusqu'à ce que je quitte la maternelle un peu avant la mort de mes parents.

Je tournais la tête avant de me replonger dans un souvenir trop douloureux. Je fini mon verre avant de sourire à mon nouvel ami le séducteur. Je lui offris un sourire après qu’il m’a annoncé être célibataire. J’imaginais déjà le rendez vous, j’avais prévu qu’il dirait oui et je voyais un resto dans le centre de l’Italie, une balade romantique ou je le séduirais, et ou je me rapprocherais de lui « J’en ai bien l’intention, alors disons ce soir vers 20h ... Je te laisse choisir le restaurant ... surprend moi » je me redressais et lui offris un sourire « On marche ? » demandais-je en m’approchant de la fontaine de Trévis que je trouvais plus que magnifique