Girl unobserved You change your position || LUKAS

(c) "The Writer" - Ellie Goulding

La nuit commençait doucement à tomber sur Rome, et il est évident que trainer dans les rues de cette ville une fois la nuit l’ayant envahie est loin d’être une bonne idée. Mais il arrive parfois, que vous n’ayez tout simplement pas le choix. Ce soir, c’était le cas pour Eleonora. Elle venait à peine de débaucher. Dans les « coulisses » du restaurant, à l’arrière, elle retira cette tenue trop moulante qu’elle se devait de porter pratiquement chaque jour, avant d’enfiler un jean et un débardeur, tout ce qu’il y a de plus banal. La banalité. Ce mot était cette promesse qu’elle s’était faite quelques années plus tôt, avec Enzo. Dans le monde au jour d‘aujourd’hui, tant de personnes rêve de gloire, de reconnaissance, de prospérité, d’argent…Eux deux, ne voulaient que quitter ce monde dans lequel ils considéraient ne pas avoir leur place pour la simple et bonne raison qu’ils n’y étaient pas heureux. Ils avaient réussi. Ela avait réussit. Même si son compte en banque était plutôt bien fourni, elle était comme madame n’importe qui. Elle travaillait, habitait un petit appartement dans des quartiers peu recommandables, elle était jeune et ne demandai rien au monde, non rien. A quoi bon demander quelque chose qui ne vous sera jamais offert ?

La jeune femme venait de sortir de l’enceinte du restaurant et tout en commençant à avancer, enfila sa veste. Avec lui nuit tombait également une certaine fraîcheur, légère certes pour le moment, mais bien présente. Avant de ne rentrer chez elle, Nora devait faire deux, trois courses. Les indispensables pour qu’elle puisse au moins se nourrir. C’est un peu idiot puisque cela n’y changeais rien mais depuis un an, elle ne faisait plus dut out attention à elle. Faire des tonnes de courses à l’avance, à quoi bon ? Manger à des heures fixes chaque jour, pourquoi faire ? Non, elle vivait au jour le jour, ne prévoyait rien à l’avance et faisait ce qu’elle avait envie, ce dont elle avait besoin, quand elle en avait envie.
Une chance, ou bien non, une normalité, l’épicerie de son quartier était encore éclairée en ce début de soirée, elle s’y engouffra donc. A peine entrée, elle se munie d’un de ses paniers en plastique que nous pouvons trouver à l’entrée, et le cala sous l’un de ses bras. Depuis quelques temps, elle se voyait contrainte de faire de plus en plus les courses pour deux personnes, Adrian, partageant souvent ses diners. C’est idiot parce que sa relation n’a rien à voir avec lui mais cela lui rappel un peu sa vie avec Enzo. Depuis qu’il n’était plus là, il fallait bien avouer, que la blonde était pratiquement tout le temps seule, alors partager le plus claire de son temps avec quelqu’un, même si c’était pour « travailler » lui faisait du bien, même si cela devait raviver quelques souvenirs. Quoiqu’il en soit cela faisait déjà quelques jours qu’elle n’avait pas revu Adrian. De toute manière c’était ainsi entre eux. Ils ne se tenaient pas au courant de leur vie respective et encore moins de leur emploie du temps.
Jetant de temps à autre quelques produits dans son panier, Eleonora passait de rayon en rayon, jusqu’à ce qu’elle tombe nez à nez avec un jeune homme. Elle se décalait sur sa gauche, lui sur sa droite, se fonçant donc presque dessus.

- « Désolé. » Lança-t-elle accompagné d’un sourire qui lui était venue naturellement, mais aussi en signe de sincérité.

Relevant véritablement la tête vers le visage de celui-ci, elle put se rendre compte qui lui semblait l’avoir déjà vu quelque part. Oui, elle était certaine que ce visage ne lui était pas inconnu, mais elle était incapable de le resituer et encore moins de lui donner un nom. Pensant qu’il allait finir par la trouver un peu dérangée à l’observer ainsi, elle retrouva l’usage de la parole.

- « Excusez moi mais, nous sommes nous déjà croisés quelque part ? »

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Travailler sous couverture, cela veut dire travailler 24/24 et même quand on s’amuse, quand on est en boîte de nuit. J’avais plein de petite mission en ce moment, il faut dire qu’à Rome il y en a du boulot c’est tout de même reconnu pour le côté mafieux. Ce soir là j’avais pour mission de surveiller l’épicerie d’un quartier de Rome, en effet le vendeur ce faisait attaquer par des voyous depuis quelques temps et celui-ci en avait marre, il voulait qu’on attrape ses délinquant. C’est pourquoi depuis trois soirs de suite je venais ici, et je trainais dans le magasin panier en main pour faire semblant que j’étais simplement un client. Alors que j’étais présent au magasin l’heure tourné et je pensais sincèrement que ce ne serait pas encore pour ce soir décidément, depuis que j’étais en mission ici, il ne ce passait plus rien comme ci les gens étaient au courant mais non c’était impossible. Pourquoi j’aimerais vraiment bien les coincer pour passer à autre chose car je ne peux pas dire que c’est ce que je préfère dans mon métier de surveiller simplement une petite épicerie. En même temps je n’étais obligé à rien du tout c’était de mon plein gré que j’avais décidé d’aider ce pauvre monsieur c’est mon côté gentil, je n’aime pas laisser les gens dans la galère. Je parcourais tranquillement le magasin quand j’entendis des bruits étranges alors je me retournais mais rien d’anormal juste une femme hystérique qui n’était pas contente car il n’y avait plus de patte d’une certaine marque, non mais parfois les gens sont vraiment stupide, elle n’est pas dans un supermarché ou elle trouve tout ici. Je soupirais en secouant légèrement la tête quand je regardais à nouveau devant moi il y avait une jeune femme et voulant se passer à côté l’un de l’autre, nous nous décalions en faite du même côté. J’eu un petit rire quand celle-ci s’excusa je ne voyais que sa belle chevelure qui était tombé sur son visage. Puis voyant son visage apparaitre je la reconnus. Très vite je fis des gros yeux mais je repris mon visage naturel encore plus vite ne voulant pas paraitre pour un abrutis mais en faite nous devions être surpris tout les deux cas celle-ci me dévisagea et me demanda si nous nous étions déjà pas vu quelques part. Justement cette femme est toujours dans les enquêtes que je fais. Elle est un vrai mystère car à chaque fois que je veux lui parler trouvant ça bizarre qu’elle soit toujours dans le coin elle disparait à chaque fois et là voilà devant moi. Depuis quelques temps j’enquêtais sur elle mais je n’avais rien trouvé d’extraordinaire, je connaissais son nom, son prénom, son emploi et ou elle vivait mais rien de super, pas de casier judiciaire du moins je n’en n’avais rien vu. Un vrai mystère que je comptais bien élucider à côté de mes vrais enquête.

Moi qui avais voulu lui parler depuis pas mal de temps cette fois elle était là et pourtant je ne savais pas quoi dire. Je devais faire attention à l’image que je renvoyais de moi car personne ne devait savoir qui j’étais et le fait qu’elle soit souvent sur mes enquêtes m’intriguaient et j’avais peur qu’elle sache qui je suis ou qu’elle le découvre mais j’étais un peu rassuré quand elle me demandait si nous nous étions déjà vu c’est qu’elle ne me connaissait pas mais que je lui disais quelques choses ou sinon c’est qu’elle bluffer… Je lui répondis :

Euh oui … Je... Vous êtes serveuse non ? Je crois que vous m’avez déjà servit …

C’était la seule chose qui m’était venu à l’esprit, si c’était vraiment un hasard qu’elle soit sur mes enquêtes il ne fallait pas que je me vende tout seul et fallait que je rentre dans un jeu, je savais qu’elle job elle occupait d’après mes enquêtes alors je jouais sur cette carte là je ne savais pas trop quoi dire d’autre, je ne me voyais pas lui dire oui vous êtes souvent sur mes enquêtes... Non vraiment trop peu pour moi.

Un visage aussi beau que le votre ça ne s’oubli pas …

Et voilà que mon côté draguer prenait le dessus, oui j’aime draguer les femmes dans le respect toujours je suis loin d’être un bad boy irrespectueux qui prends les filles et les jettes mais dans ce monde il faut savoir faire la part des choses et je me prive jamais de plus il faut avouer qu’elle était pas mal du tout, et en tant que commandant de police je sais en général réagir au situation et apprendre à la connaître pourrait être un bon point pour moi pour découvrir qui elle est vraiment oui c’est facile de mentir et de ce faire passer pour une autre c’est ce que je fais aussi mais j’ai un petit flaire pour ce genre de chose…

C’est un peu dangereux de trainer dans les rues seul à cet heure ci … Vous savez que cet épicerie à déjà eu des cambriolages … Enfin je l’ai lu dans le journal …

Oui il fallait que je fasse attention heureusement que c’était vrai que c’était passé dans le journal sinon elle m’aurait demandé comment je le savais, c’est ça le problème quand on doit faire attention à tout ce qu’on dit ce qu’on fait, parfois c’est facile et surtout je commence à avoir l’habitude mais quand on veut avoir une vrai discutions avec quelqu’un et qu’encore une fois on doit se contenir sur certaines choses c’est pas toujours facile…

Suite à la question posée par Eleonora, le jeune homme parut assez surpris, ce qui fit à nouveau sourire Nora, d’un sourire un peu gêné cette fois. Tentant vraisemblablement lui aussi, de trouver un usage correct à la parole, il avoua avoir très certainement été servi par la blonde au restaurant. Le regard de cette dernière repris alors son observation et se rendit compte que vraiment cet homme lui disait quelque chose. Pas seulement son visage, non, son allure aussi, ainsi que sa prestance. Ce qui est étrange c’est que, en générale, elle ne fait pas trop attention au physique des clients dont elle s’occupe, et puis il faut dire que quand elle travail, même si elle doit s’occuper du mieux possible d’eux, elle n’a pas vraiment le temps de les dévisager. Normale, non ?

Ne sachant vraiment quoi répondre, et restant toujours en réflexion, elle le laissa enchainer. Non, vous l’aurez compris, la jeune femme est loin d’être du genre à abandonner facilement. Elle est têtue, bornée comme pas possible.
Rêvait-elle ? Non, elle était bel et bien entrain de se faire draguer, ni plus, ni moins. Cette fois-ci, un léger rire s’échappa d’entre ses lèvres. Comme une enfant, elle apposa alors l’une de ses mains devant sa bouche, n’en perdant pas pour autant le sourire.
C’était…agréable. Rire était une chose qu’elle n’avait pas faite depuis longtemps, tout comme se faire draguer d’ailleurs. Bien entendu, vous avez toujours ces garçons douteux sur les trottoirs qui suivent vos fesses du regard, mais cela n’avait rien à voir. Cet homme devant lequel elle se trouvait ce soir là avait une certaine classe, et puis c’était un homme, non plus encore un gamin. Quoi que, parfois, cela ne rien dire, soit.

- « Je suis…charmé que vous vous souveniez de mon visage dans ce cas. En effet, je suis serveuse dans un restaurant. »

Pas besoin de préciser qu’elle de son côté n’avait aucun souvenir de lui dans le dit restaurant, non ? Non, pas besoin.

- « C’est un peu dangereux de trainer dans les rues seul à cet heure ci … Vous savez que cet épicerie à déjà eu des cambriolages … Enfin je l’ai lu dans le journal … » Continua t’il.

- « Oui, j’en ai entendu parler, surtout que j’habite tout près. Mais vous savez…je sais plutôt bien me défendre. » Répondit la jeune femme, le sourire ne la quittant toujours pas, mais arborant à présent un air taquin.

Il est évident qu’elle était au courant de ces cambriolages multiples et de ces ridicules prises d’otage mais justement, ces évènements la poussaient sans aucun doute davantage à venir faire ses courses rudimentaires dans cet endroit mal famé. Avec le temps, elle s’était mise à aimer le risque et à en redemander. Vous savez, comme avec la drogue ou bien même l’alcool. C’était plus fort qu’elle, les situations dangereuses, elle adorait et puis si en plus ces dernières lui permettaient d’en apprendre d’avantage sur toutes ces foutues magouilles planant au dessus de la ville, c’était parfait. Non, je vous assure, Nora n’est pas suicidaire, même si la perspective de perdre la vie du jour au lendemain, ne l’affecte pas plus que cela. Après tout, on meurt tous un jour. Quant à sa défense, il faut se méfier des apparences. D’accord, au premier abord, c’est une femme tout de même un temps soit peu attirante, à la longue chevelure blonde, des yeux verts capable de vous ensorceler à tous moment, une frêle allure…mais là-dessous se cache une femme meurtri capable de se battre comme un vrai garçon. D’ailleurs avec la force et l’expérience qu’elle à sut acquérir durant cette année, à force d’entrainement, elle est largement capable de mettre un homme à terre.

- « Vous habitez aussi à proximité ? C’est peut être tout simplement dans le quartier que je vous ai déjà vu. »

Alors que d’habitude, Eleonora feigne l’ignorance ou bien la passivité avec les gens qui daignent lui adresser la parole, ce soir, elle avait apparemment décidé de jouer les curieuses. Et puis il faut l’avouer, elle voulait vraiment trouver d’où elle l’avait vu, et puis à présent elle désirait savoir qui il était. Le fait qu’il la drague quelque peu ne la dérangeait pas plus que cela à près tout. Il faut dire, qu’il était plutôt pas mal. En parlant de savoir, qui il était, ou plutôt en y pensant, la jeune femme se dit qu’il était peu être de temps de faire les présentations. Elle décida de prendre les devants. Abandonnant l’article qu’elle tenait dans les mains depuis tout ce temps dans son panier, elle lui tendit sa main :

- « Au fait, je m’appèle Eleonora. Et ne me dites pas que vous vous en souveniez grâce à mon badge au restaurant, je ne vous croirai pas cette fois.»

Et voilà qu’elle faisait même un semblant d’humour à présent.

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Voilà que nous entamions une conversation entre elle et moi et c’était mon but ne pas la laisser partir alors que j’arrivais enfin à lui parler depuis le temps que je le voulais, elle m’avait l’air plutôt posé et plutôt gentille et bien que les apparences peuvent parfois être trompeuse en général j’arrive à bien cerner les gens mais ici, les gens arrivent bien à se dissimuler tout de même alors parfois il arrive que je me trompe et il ne faut pas oublier qu’elle est souvent sur les enquêtes que je mène et au fond c’est tout de même suspect tout ça. Elle me dit qu’elle était serveuse dans le restaurant du moins que j’avais raison heureusement que les serveuses ne se rappellent pas de tout leurs clients car en réalité je n’avais encore jamais été dans son restaurant. Donc je ne m’étais pas trompé de femme et c’était bien elle je connaissais donc son prénom et quelques petits trucs qui n’avait pas trop d’intérêt du moins ce que je veux dire par là c’est qu’il n’y avait rien d’alarmant, rien de mafieux. Je lui faisais par des petits problèmes que cet épicerie avait et elle en était au courant après tout, tout ce sait ici et surtout si on lit le journal. Puis elle me dit qu’elle savait ce défendre alors je lui souris, en même temps ça me surprenais même pas car la plus part des femmes d’ici savent très bien ce battre pour une raison c’est qu’il y a tellement de soucis, de délinquance et de bagarre que même une femme doit apprendre à ce battre pour sa propre défense c’est plutôt courant.

Elle était très souriante et je trouvais ça agréable à voir en même temps c’est mieux de voir quelqu’un avec un beau sourire que quelqu’un qui fait la gueule et en plus elle avait un bon sourire j’en étais charmé. Elle me demandait si j’habitais dans le coin car elle se demandait encore ou elle avait bien pus me voir, dans ma tête je savais très bien cela devait être sur les enquêtes que je faisais car je la voyais toujours dans le coin mais je n’allais pas lui dire je préférais qu’elle oublie où elle m’avait vu ou du moins qu’elle y pense le moins possible je répondis :

J’habite dans le quartier nord de la ville mais je me promène un peu partout comme un nomade..

Je me mis à rire et ajouta :

En faite je suis informaticien et je vais souvent chez des clients un peu partout alors peut-être m’avez-vous croisé alors que j’allais chez un client.

Oui j’avais un diplôme dans l’informatique j’étais doué et c’était ma couverture comme métier pour ne pas dire que j’étais commandant de police, un secret que je compte bien garder très longtemps et si possible à jamais. Puis posant un magasine qu’elle avait en main elle me tendit la main en me donnant son prénom oui c’était bien elle je me trompais pas puis avec humeur elle me demandait si ça aussi je le savais du moins si je m’en rappelais en ayant vu son badge alors avec humeur je répondis :

Vous savez j’ai plutôt une bonne mémoire je pourrais m’en rappeler surtout que vous le portez bien mais je vous avouerez que je n’irais pas jusque là je suis enchanté Eleonora moi c’est Lukas…

Je lui tendit ma main pour lui serrer et lui fit un petit sourire, oui je savais son prénom mais j’allais m’abstenir de lui dire sérieusement car c’était vrai que cela ferait un peu trop si je n’avais pas oublier quoi que cela aurait pus être possible mais dans ses cas là si elle m’avait vraiment tapé à l’œil voyant que j’ai un côté dragueur elle se serait demandé pourquoi je ne l’avais pas draguer au restaurant alors il fallait que je garde un peu de crédibilité donc je me rappelais de son visage au restaurant mais rien de plus il fallait qu’elle le pense vraiment.
En tout cas je reviendrais dans votre restaurant juste pour vous Eleonora…

Je me mis à rigoler, j’avais envie de parler un peu de rigoler un peu et au passage de draguer un peu aussi cela ne pouvait pas faire de mal. Puis j’entendis encore des bruits étranges et malheureusement c’était les hommes que je recherchais. Ce n’était vraiment pas le moment pas devant elle, oui la boutique allait bientôt fermer il y avait plus que moi et elle. En tant normal j’aurais pus exercer mon métier devant des inconnus et faire diversion mais déjà qu’elle était beaucoup trop sur les enquêtes que là devant elle je ne savais pas trop comment réagir mais que voulez vous je suis de la police je ne peux pas faire comme ci de rien n’était juste pour une fille dont je connais rien mais justement c’était ça le souci le fait que je ne sache pas qui elle est et que je ne dois pas me faire prendre. Il y avait deux mecs dont un était armée, les voyants je pris Eleonora par la taille pour la décaler dans un coin j’attendais le bon moment pour intervenir mais pour cela ils ne devaient pas me voir alors je lui dis en chuchotant :

Ne parlez plus

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