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Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor'

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Sabrina A. Landro
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Sabrina A. Landro
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MessageSujet: Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor'   Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor' Icon_minitimeLun 18 Oct - 23:02

Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor' Mljy9x
Enceinte ? 8 lettres qui résonnaient dans ma tête à chaque fois que je me réveillais le matin. C’est con mais c’était comme une chose qui me hantait. Et à peine levé… les nausées arrivaient enfin pas à peine mais quelques dizaines de minutes et peut-être durant le petit déjeuner. C’est stupide mais des odeurs ou des simples petites choses qui pourraient m’énerver suffisait à me donner envie de filer vers les toilettes, je n’aimais pas ça car le cacher tout en ne pouvant pas l’éviter était un calvaire. En parlant de calvaire, vous avez vu que Goerges Clooney avant de la calvitie précoce dans le dernier magazine à potin ? Non mais c’est marrant car il en a pris du temps pour vieillir pourtant je n’y crois pas, vous savez les racontars de couloirs, non merci ! Ce matin, je ne voulais pas me lever alors que j’étais dans mon canapé dans des couettes couché et retardant la douche et la sortie dans le monde extérieur. Quelle vie de chien. Je devais éviter tout le monde chez moi de peur à ce qu’ils me disent « comment vas-tu » et que mes nausées matinales viennent donc je prenais toujours le soin de ne quitter l’appartement qu’une fois que j’étais « nette » et que mon corps se sentait bien puis je prenais l’attention sérieuse et ne tombait sur personne. J’évitais le monde et j’avoue qu’ils se posaient des questions avec les 30000 messages de Diego, vive la vie d’une femme enceinte qui a peur de l’annoncer au père et encore pire… aux familles ! Génial, je me vois déjà annoncer à papa « Hey… Dad, je suis enceinte de Diego, tu vois ? Le fils de ton pire ennemie ». Super… je crois qu’il va rire et penser à une bonne farce… farce à la dinde ? Non, farce du genre, c’est le poisson d’avril ! Enfin bref, zappant les chaines dans mon jogging et débardeur, je maugréais silencieusement des injures contre les chaines stupides qui n’avaient que des feux de l’amour à diffuser et comme si j’avais besoin de ce genre d’émission alors que ma vie est un épisode entier enfin même une saison ou bien une série au complet, je vous jure. Enfin voilà, je me levai soudainement et marchant de pied lourd vers la salle de bain, je pris une douche express… celle qui se prennent en 10 minutes ensuite séchant rapidement mes cheveux mais vraiment très vite car cela me donnait des maux à l’estomac, il ne fallait pas que je prenne des risques ! Portant un jean et un pull blanc assez épais car l’automne donnait un vent assez frais et je ne devais pas prendre les risques de froid. Je mis ensuite mes bottes noir au-dessus et mon chapeau blanc, il est superbe ce chapeau. Prenant alors la route tout en regardant si personne ne me suit… on ne sait jamais. Je pris le chemin vers le centre commercial, un peu de shopping pour trouver des chemisiers afin de couvrir mes formes seraient géniales, nous ne bossions pas ce Lundi… c’était le jour de fermeture de l’entreprise donc je n’avais réellement rien à faire pour le moment ! J’aurais bien pu cacher mes formes afin des fringues de ma collection mais je n’allais pas en dessiner exprès car ce serait trop flagrant.

J’entre alors dans la première boutique que je voyais, je n’avais même pas pris attention de l’enseigne, j’étais entré rapidement pour éviter surtout Diego, pourtant je l’évitais ? Je ne le savais pas mais je redoutais de lui annoncer qu’il allait être papa, vous imaginez sa tête ? Ah, j’en ris déjà ! Parcourant les rayons avec de la musique dans mes oreilles pour me donner un peu de pêche, je savais qu’il fallait que je prenne du temps pour moi afin de me décider rapidement de la suite des événements, hier une glace et aujourd’hui un petit tour dans les rayons des magasins. Je fouillais après des tuniques pour l’hiver, des pulls et amples pour cacher mon petit ventre qui ne tarderait pas à sortir et comme je ne savais pas quand… j’aurais l’audace de dire « Je suis enceinte » je me devais de cacher le tout, je me devais de faire comme si tout allait bien qui plus est j’avais rendez-vous chez le docteur dans deux heures pour la première visite et je devais ne pas stresser. C’est alors que je m’avançais plus vers les rayons que j’ aperçu une tête connue qui fouillait dans les jeans et c’était mon assistance, Lorena. Je laissais mes écouteurs dans mes oreilles tout en continuant, je ne voulais pas la déranger ou même qu’elle me voit car c’était risqué, tout était risqué.
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Lorena K. Grace

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MessageSujet: Re: Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor'   Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor' Icon_minitimeMar 19 Oct - 14:41



Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor' 308xhs9

Un mal de tête horrible venait de prendre mes pensées en otage, a midi et demi, tout me semblait si noir. On aurait dit une nuit complètement affolante dont personne ne pourrais sortir. Un homme, que je devais surement connaître entrait dans ma chambre, enfin cette pièce qui me sert de chambre, tirant sur les rideaux, le soleil entrait dans ma chambre, je poussais un cri de haine, contre le jeune homme, si il y a bien une chose que je déteste c’est qu’on me réveille et encore plus avec la lumière du jour. Je poussais la personne quand elle passait près de mon lit, finissant par tombait je rigolais, apparemment j’étais quand même de bonne humeur. Regardant, un peu partout, frottant mes yeux encore endormis, regardant mon téléphone, avec trois appel manquais … Je souriais quand je vis que c’était Bixente qui m’avait appelais mais papa entrait dans ma chambre. Je jetais le portable en dessous de mon oreiller et je le regardais. « Il est ou mon petit déjeuner ? » La garce était de retour, après une soirée aussi bonne que celle d’hier soir, il ne devait pas commencer à m’embêter. Je ne m’en souviens plus d’ailleurs appart quelques détail très flou et d’un garçon surement fut le nombre d’affaire d’homme qui trainait dans ma chambre. Regardant mon père, je ne lâchais pas mon regard du sien, tapotant mon pied sur le sol et ma main sur la commode je lui répétais une dernière fois. Le tirant par la chemise, il arrivait tout juste devant moi. « Va tout de suite cherchait mon petit déjeuner, sinon je me lève et je vais voir la police qui se fera un plaisir de venir t’arrêtait pour le meurtre de ma mère ». Lâchant sa chemise, je le regardait partir dans la direction du salon, reprenant mon téléphone, j’envoyais un message a Bixente en espérant le voir dans la journée. Le petit déjeuner venait d’être servit … Je souriais a son arrivée dans ma chambre et cherchait a qui pouvait appartenir ces affaires. Allant dans le salon, je prenais le pantalon et me mit a demander qui il pouvait appartenir. Un beau jeune homme, vraiment séduisant levais la main, je l’appelais et le ramenais dans la chambre, fermant la porte derrière moi.

Au bout d’une bonne heure même plus, je sortais de ma chambre, je souriais en regardant le jeune homme allongeait dans mon lit, enveloppée par la couette qui ne cachait que ces parties intimes. Souriant a mon père, je répliquais : « Papa, comment il s’appelle ? » J’eu une réponse assez bref, j’adorais ce prénom : Noah, c’était vraiment très beau, je regardais mon père et ces compagnons : « Faits en sorte qu’il soit toujours la quand je reviendrais ». Dans cette maison j’étais un peu la reine, toujours la pour commander et tout le monde faisait ce que je voulais. Étant la seule femme de cette bande de mecs ridicules, travaillant pour la mafia enfin … Une bonne douche, que de mieux, les cheveux mouillées, je les séchait avec mon sèche cheveux, les laissant ondulées sur mes épaules. J’enfilais une magnifique robe blanche sans collant bien sur, des talons hauts. Avant de partir, une touche de maquillage, le manteau qui faisait surement un peu trop midinette, avec la fourrure sur le col et la capuche, une écharpe pour ne pas avoir froid, le sac à main. Ouvrant le tiroir de la commode dans la cuisine, je pris l’argent qui avait dedans au moins six cents dollars. Je souriais et partait.

Je marchais dans la rue, le centre commercial n’était pas très loin de chez moi, alors. Je croisais de nombreux mendiant et étant une vraie petite peste, il n’aurait rien de ma part, je continuais a marchait les dévisagent les uns après les autres, critiquant les personnes sans aucun style ou même carrément moche. Nous sommes en Italie, un des pays les plus respectées pour son style et la mode et des gens comme eux ose y habiter. Arrivant au centre commercial je souriais, première direction, les boutiques de chaussures, une magnifiques paires ornées la vitrine et je l’achetais bien sur. Je souriais a la vendeuse : « Enlevez ces chaussures de la vitrine, personne ne doit avoir les mêmes que moi … ». Au bout de quelques minutes, les chaussures avaient disparue, je souriais. Maintenant le sac à main, la même chose pour lui. S’il avait bien une chose que je détestais c’est que quelqu’un s’habille comme moi. Je marchais dans les galeries, achetant un capuccino au passage, j’entrait dans un magasin de fringues, très a la mode ici mais aussi très cher. Je regardais autour de moi, passant par les jeans mais rien n’y faisait. Je me retournais et fonçait dans une personne.

« Non mais vous ne pouvais pas faire … Ma voix se figeait très vite, en levant la tête je m’apercevais que c’était ma patronne, non que j’avais peur d’elle mais mon travail était la couverture de papa donc je devais lui montrer du respect. Croyais moi sinon, je lui aurais déjà fait plusieurs remarque. Je ne comprenais pas cette femme, tout le monde m’aimait et elle non, elle ne me parlait pas on aurait dit qu’elle m’avait embauchée juste comme sa, surement parce que j’étais la plus belle de toutes les filles et dans une entreprise de mode, il n’y a que des belles filles. Vraiment désolé, c’est ma faute … Vous allez bien ? . Je n’en pensais pas un mot, c’était de sa faute a elle, un peu de la mienne mais elle devait aussi regarder ou elle aller non ? Bref, je souriais. »
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Sabrina A. Landro
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MessageSujet: Re: Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor'   Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor' Icon_minitimeMar 19 Oct - 16:04

On me bousculait et comme une idiote, comme le culte… le genre de truc que l’on fait toujours, j’avais mis la main sur mon ventre alors qu’il n’y avait pas de crimes enfin juste un petit accrochage, c’est con comme parfois l’on réagit bizarrement. L’instinct maternel ? Peut-être mais n’est-ce pas trop tôt ? Quoiqu’il arrive, je voulais protéger mon enfant et c’était stupide car on ne perd pas un bébé aussi simplement. Enfin bref, ce qui était le plus embêtant était ce geste qui pourrait casser tout, casser les secrets que j’avais et révéler ma grosse c’est donc pour cela que rapidement, la main changea de place pour aller sur mon épaule, dire… genre c’était sa trajectoire enfin voilà rien de bien dangereuse dans cette bousculade. Plus de peur que de mal et puis je n’étais pas en tort car je n’avançais pas ou du moins pas dans sa direction et pourquoi connaissais-je sa direction ? Car c’était Lorena et par ce que je l’avais vu. C’était mon assistante si douce et serviable mais que j’avais envie de préserver de tout ce qui m’entourait et l’a laissé un peu « vivre » sa vie sans penser qu’elle est l’assistante de la fille Léonidas. Elle me disait de faire attention mais c’était en fait à elle de faire attention car les gens qui marche doivent contourner ceux qui sont à l’arrêt, c’est comme dans les métros pour l’allée droite et gauche, celle ou vous pouvez marcher pour aller plus vite et celle qui est prévue pour ceux qui veulent ne pas bouger. En gros, ce n’était pas à moi de m’excuser mais je m’en figeais, j’étais gentille et pas du genre à râler pour des broutilles, pas du tout. Sa voix s’était figé, avait-elle tellement peur ? Non mais je n’étais pas un monstre et je détestais les monstres en fait j’étais même une femme bien mas j’avoue que je pouvais me montre distante et froide avec Lorena. Au point de lui faire peur ? Je n’en revenais pas et j’avais envie de rire pourtant je pensais au fait que je devais protéger son « innocence » et je ne savais pas qu’elle avait un rapport avec la mafia, pas du tout donc je ne pouvais me douter qu’elle était autant en danger que je pouvais l’être.

« Désolée, je ferais attention, la première fois »… Pour une fois, pour une rare fois, je lui donnai un sourire, un beau sourire et oui car je n’avais vraiment pas envie de faire peur. C’est bizarre mais j’avais l’impression d’être le méchant loup pour elle et même si je le voulais un peu cela m’énervait car je n’aimais pas être dite « méchante », je détestais ça… bien plus qu’autres choses mais pas assez que pour le détester autant que les histoires de mafias. « Bonjour à toi, je vais bien et toi ? » disais-je alors gentiment et surtout avec beaucoup de bonnes intentions, je ne voulais pas être hypocrite, nous n’étions pas au bureau et nous ne bossions pas à quoi cela me servirait ? J’avais cependant peur qu’elle pense que je l’étais enfin je ne voulais pas l’être et je ne l’avais jamais été. De toute façon, je lui avais menti avec un simple « je vais bien » c’était suffisant pour être un grand mensonge et bien trop, cela ne m’avait pas plus de le dire mais au fond, oui… j’allais bien mais aller bien était un grand mot car je pense à mon bébé si je n’avais que ça dans la tête, je serais la femme la plus heureuse de la terre mais les histoires qui entoureront alors après cet enfant pouvait me démoraliser et je ne devais pas démoraliser car étant du genre à avoir un passé houleux dans les tentatives de suicides, dépressions et tout avant de rencontre Diego, je suis faible et je peux tomber dans une mauvaise passe en deux claquement de doigts mais personne ne le sait sauf Frederico, mon meilleur ami. Je regardai alors les rayons et j’avais auparavant hésite pour une tunique, je ne savais pas si cela m’irait pour alors briser la glace, je lui montrai du doigt… « J’ai besoin de ton avis », je m’en approchai (de la tunique of course)… et sourit en l’a mettant devant moi. « Tu crois que cela m’irait bien ? » J’aimais ce genre d’attitude, celle qui est lunatique et soudaine qui change vraiment l’ambiance, l’atmosphère enfin qui change le court de l’histoire puis être prévisible, je détestais cela… au moins, je ne manquais pas à ma réputation d’impulsive !
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Lorena K. Grace

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MessageSujet: Re: Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor'   Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor' Icon_minitimeMar 19 Oct - 18:36

Quand mon père m’a annonçait que je devais aller chercher du travail, je ne m’en suis pas remise, enfin pas tout de suite. J’ai d’abord vidée une bouteille de vodka, toute seule sans l’aide de personne pour réfléchir à ce qui venait de me dire. Je n’avais jamais travaillé de ma vie, et pourtant j’ai toujours eu tout ce que je voulais. Dans le mot travail, ce qui me dérange le plus c’est que l’on doit obéir a quelqu’un, alors que sa a toujours était moi qui commandait, comme chez moi par exemple. S’il y a bien une chose que je déteste c’est qu’on me commande. Recevoir des ordres : « vas vers ceci, n’oublie pas de tailler mes crayons, va me chercher un café, les photocopies.. ». Vous m’imaginez recevoir des ordres ? Le pire c’était de devoir me lever de bonheur … Le métier trouvait dans cette boîte de mode est plutôt, pas mal. Les gens sont sympa et me trouve gentille, enfin il ne me connaisse pas vraiment. Dans cette boîte je suis pour tout le monde fille d’une mère au foyer décédait d’un cancer et fils d’un policier, n’importe quoi … Mais la patronne n’a pas l’air de m’apprécier beaucoup, après tout, je n’ai pas d’amis et je le vit bien, je n’ai besoins que d’une chose : les hommes a mes pieds et avec ma « famille » je suis servis...

Dans ce magasin, tout semblait pourtant différent, je ne m’excuse jamais d’habitude mais le fait de le faire cette fois-ci me mit une boule au ventre interminable, alors que je ne pensais pas mes excuses mais bon … Mais apparemment cela fit sourire ma patronne, pour la première fois de ma vie je voyais son sourire. Il était très jolie et je ne comprenais pas pourquoi elle avait tant de mal a me parler parce que avec les autres collègues sa roule. Enfin, je suis sûrement trop jolie pour elle, parce que franchement les filles de l’agence sont pour la plupart moche ou pas très bien. Dans l’entreprise elle est considérée comme la gentille patronne aimante mais moi je la vois plus en patronne incomprise et sans attache, vraiment elle est … Je n’arrive pas a la cernée, mon jugement je le fonde tout seule et au premier regard. « Je vais très bien merci … ». Une réponse simple, je pouvais mentir elle ne le serait jamais. De toute manière vu sa tête je savais qu’elle mentait a son tour, elle avait eu tête a avoir dormi par terre … Un silence c’était mis en place pendant un moment mais c’est sans compter sur la jeune femme qui repris la parole de suite. Elle avait besoin de mon aide ? Laissez moi rire, elle qui ne m’adresse jamais la parole avait besoin de mon aide. Je souriais légèrement, la petite garce que je suis se transformait en gentille petite fille pour un court moment. Elle ne doit pas, elle ne peut pas savoir mes origines « mafieuse » si je puis dire, elle n’a pas besoin de galère supplémentaire. « Euh … Je dois être franche, parce que la franchement c’est horrible. Vous êtes au rayon femme enceinte vous savez ? Vous n’êtes pas grosse, il faut vous mettes en valeurs. Vous n’êtes pas comme elle … ». Les derniers mots prononçait viser une personne qui était juste dernière fois, elle devait faire un quarante je crois mais c’était déjà beaucoup trop pour moi, je n’aime pas les gros, il y a en ces les homos sexuelles ou autres moi c’est les gros. Je regardais ma patronne une dernière fois. « Suivez moi .. » Je l’emmenais direction les rayons un peu plus jeunes, un peu plus fashion. Nous n’avions qu’un an de différence ce n’est pas énorme, on doit pouvoir s’habiller pareil. Je pris plusieurs articles dans ma main, elle devait faire a peu près la même taille de quoi, un trente quatre ou un trente six. Je la regardais et lui donnait les articles. « Je pense que ceci vous irez mieux Madame Landro, vous êtes une des seules filles belles de la boites alors je pense que ces habits qui mouleront bien votre ventre et feront ressortir vos seins vous irez parfaitement. Allez les essayer. »

Je la regardais et l’emmenais au rayon cabine d’essayage. Avec mes deux plastiques, il me manquait encore des choses, je passais devant un rayon casquette, m’arrêtant deux secondes, je pris une casquette dans ma main et poursuivit mon chemin. Une magnifique casquette rose Ralf Laurent. Nous étions arrivés aux cabines d’essayage. 10 articles, un petit passe et elle était dans sa cabine. Je m’étais assise sur un banc, attendant qu’elle sorte et envoyant des textos en même temps.
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Sabrina A. Landro
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MessageSujet: Re: Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor'   Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor' Icon_minitimeMar 19 Oct - 21:51

J’allais bien et elle allait bien enfin j’allais bien était un grand mot mais nous allons arrêter d’en parler car je l’ai dit, je vais bien et c’est du passé, elle n’allait pas le redemander enfin je l’espérais de tout cœur, vraiment. Je voulais qu’elle n’y revienne pas même si ce n’était pas difficile à voir que je mentais. J’étais comme un cachet d’aspirine et même plus blanc même si on ne peut pas faire plus blanc, génial ! C’est après que je lui avais demandé de l’aide enfin plus vite un conseil pour une tunique. Je fouillai après des tuniques, de tailles normales et pas pour des femmes enceintes enfin le genre de tunique assez large pour cacher le ventre rondelet d’une femme en cloque, en cloque. J’avais envie de rire en y pensant mais je le retins et pourtant dieu que j’en avais envie. Enfin voilà j’avais plusieurs choix portées mais quand je lui montrai mon favoris, elle me dit une chose qui me fit rire, pourquoi ? Très simplement par ce que je venais de me rendre compte qu’inconsciemment j’avais été vers le rayon des femmes enceinte, super sachant que je suis censé cacher ma grossesse avec la tunique, je ne vais pas aller en chercher dans un rayon pour les femmes enceintes ? C’était surement pour cela que j’avais vraiment du mal avec les formes que je trouvais vraiment trop équivoque et qui montrait le ventre enfin qui le mettait en avant et bien mince alors, c’est toujours moi qui fait ce genre de bourde. Mordillant alors mes lèvres et ne sachant que dire puisque cela pourrait éveiller les soupçons sur ma grossesse mais elle n’en releva pas un mot, heureusement car je me serais réellement senti très mal enfin je dis ça mais ce n’est pas sûr. J’avais envie de rire et sourire à la fois à sa remarque et je le fis car c’était très mignon et à la fois… marrant enfin je ne pourrais pas l’expliquer mais elle était chou et j’aimais ça car j’avais besoin d’une personne qui ne parle pas de mafias, d’armes, de flingues ou de secrets mais pourtant je n’avais rien contre les personnes un peu plus ronde car c’était une féminité comme une autre mais passons car elle avait le droit d’être plus difficile et je souris. « Je trouve qu’être une femme enceinte ce n’est pas un défaut, c’est même mignon, bon d’accord… elle n’est peut-être pas enceinte mais les femmes enceintes ont des formes magnifiques. » et pourquoi disais-je ça ? Peut-être car j’étais un peu touché par la cause ? Dans quelques mois, je serais aussi dans la même catastrophe, j’aurais un peu de ventre et j’aurais aussi enflé de partout puis surement plus de poitrine ce qui ne pourrait déplaire à Diego si seulement il veut toujours de moi quand il apprendra qu’il va être papa. « Suivez-moi » venait-elle de me diriger vers des rayons plus flashions mais tout ce qu’elle me donnait était moulant et bien trop sexy, je ne pouvais pas car l’on aurait vu mes formes, je ne savais que dire alors qu’elle disait que cela m’irait mieux et pour lui faire plaisir, je l’a suivis et me laissa alors suivre dans le mouvement. Justement elle me disait que cela moulerait bien mon ventre et ferait ressortir ma poitrine, d’où le problème. J’hésitai longuement devant la cabine, cela ne devait pas être dit mais pourtant je préférais ça que la prendre au dépourvu ! Je sortis alors de la cabine après 10 minutes dans une petite robe moulante qui montrait mon ventre mais ne laissant sortir que ma tête, je ne voulais rien montrer pour éviter qu’elle comprenne un seul instant que j’étais enceinte ! « J’aimerais bien les essayer tout mais le soucis est que justement, j’ai besoin de fringues qui ne moulent pas le ventre. » J’essayais de me montrer vague pour ne pas dire de but en blanc que j’étais enceinte. Je ne voulais pas le dire et non pas par ce que je n’avais pas confiance en elle, pas du tout à cause de ça mais surtout car je voulais d’abord l’annoncer au père avant, c’était un minimum ou alors à ma meilleure amie. « Je cherche tout l’inverse et même si tout ceci est magnifique, ce n’est pas vraiment ce dont j’ai besoin », je ne peux pas en dire plus.
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Lorena K. Grace

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MessageSujet: Re: Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor'   Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor' Icon_minitimeLun 25 Oct - 16:08

C’était horrible, comment une femme aussi grosse pouvait entrer dans ce magasin, sérieusement, elle était tellement énorme, elle devrait ce dirigé dans le rayon femme enceinte. Elle pesait au moins soixante kilos je vous jure que ce n’était pas beau a voir, surtout qu’elle n’était pas très grande. Je la regardais de haut en bas, sa pourrait avoir l’air méchant mais … Je lançais un regard a ma patronne quand elle me fit un discours sur les femmes enceinte, elle ne l’était peut être pas mais c’était moche a voir, elle ne devrait même pas avoir le droit de sortir de chez elle, surtout que ces habits lui collaient le ventre et était quinze fois trop petit pour elle. Je me dirigeais vers cette femme qui était assez grosse. « Excusez moi … Vous devriez surement vous dirigez au rayon femme enceinte. Par la, se serait mieux pour vous » Je lui lançais un léger sourire, alors que je ne le voulais pas, peut être que sa passerais mieux pour elle. Elle me regardait d’un air interrogateur. « Je ne vous permet, pas mademoiselle, je ne suis pas enceinte … ». Ma tête se retournais vers elle, je le regardais de haut en bas, alors elle était vraiment grosse … J’étais en quelques sorte un peu choquée d’elle. « Alors vous êtes grosse, ce magasin n’est pas fait pour vous, il y a un magasin spécial pour les gens de votre genre … Elle s’avançais vers moi comme si elle était prête a me taper, je le regardais arrêtant sa main et répliquais. Attention Quasimodo, tu pourrais être fatiguée, ta pas l’esprit sportif. Va perdre du poids, ya une salle de gym au troisième étage, vas faire un tour … Quoi que la, le cas est désespérer ». Je repartais vers ma patronne, ne me retournant par vers cette grosse vache qui ne fallait rien dans la vie. Après dix minutes elle sortait de la cabine, je la regardais, elle était vraiment très belle dans sa robe mais je ne comprenais pas pourquoi elle ne la voulait pas, c’est comme ci elle allait devenir grosse ou encore avoir un enfant. Je secouais la tête d’un signe vague quand elle m’expliquait. « Donc vous ne voulait pas de vêtement moulant ? ». Je ne disais rien d’autre, qu’est ce qu’elle pouvait être bizarre, je marchais vers les rayons, des vêtements moins collants mais plus sobres et franchement on aurait dit des trucs de grand-mère. Je me retournais vers elle, la regardant d’un air interrogateur. « Je ne veux pas être méchante quoi que … je suis toujours méchante alors. Je ne vous comprends pas. Vous n’avez même pas trente ans et vous voulait déjà vous habiller comme une vieille. Tout les mecs de l’entreprise se retourne vers vous, a chaque fois que vous passez dans les couloirs, et vous ne prenez même pas soins de vous rendre sexy, c’est quoi ça ? Enfin habiller vous comme une vieille, personnellement sa fait plus de prétendant pour moi. ». Dans l’entreprise, la seule qui pouvait me faire de l’ombre c’était elle. Dans les rayons comme elle le voulait, je regardais les vêtements mais franchement, je ne trouvais pas grand-chose, quelques t-shirt et robe passable mais rien d’assez beau ou d’assez cher pour une femme comme elle, elle était la patronne, elle ne pouvait pas s’habiller comme tout le monde. Je pris une robe dans ma main, une des seules un peu jolies. Elle était blanche, serrait en dessous de la poitrine et redevenait large en dessous, quelque chose qui ne colle pas au ventre et qui peut passer. Je la regardais. « Vous aimez ? ». Personnellement, c’est bien une robe que je n’aurais pas mis mais elle si c’était son genre, je sortais mon téléphone en même temps, recevant un message en même temps, je continuais a lui montrer la robe, je me retournais et vit Bixente qui venait de m’envoyer un message, je souriais et me retournais vers ma patronne. J’espérer qu’elle ne remarque pas, ce beau garçon, enfin qu’elle ne remarque pas qu’il me regardait sans arrêt depuis plusieurs minutes. J’attendais une réponse de ma patronne en tenant toujours la robe dans ma main.
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MessageSujet: Re: Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor'   Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor' Icon_minitimeSam 30 Oct - 14:10

Il est un fait, je ne voulais pas porter de fringues moulants… j’étais étrange et je le savais mais cependant l’important était que personne ne pouvait savoir que j’étais enceinte et décidément, elle n’avait pas l’air de comprendre ce que je lui disais subtilement, je devenais vraiment douer pour garder des secrets ou je rêve ? Enfin bref, étant styliste, je savais vraiment que je ne pouvais pas du tout porter des fringues moulant à deux mois de grossesse, mon ventre se voyait progressivement et je mangeais énormément depuis le début même quand je n’étais pas encore au courant de ma grossesse, je mangeais beaucoup, c’est étrange cette histoire d’hormone. C’est alors qu’elle fouilla après des trucs moins moulants et je lui souris mais j’avais vraiment peur qu’elle comprenne le secret. Elle me dit alors qu’elle ne voulait pas être méchante bien qu’elle l’était souvent et c’est un fait, elle n’était pas des plus commode, je l’avais remarqué depuis le début et étant une gentille de chez gentille, j’étais bien sur super amicale. Elle me disait que j’étais jeune et que j’attirais les regards en entreprises, génial car en plus, il faut que tous ceux qui bureau me « matte », j’étais vraiment mal barre si l’un ou l’autre remarquait mes changements. Je grimaçais alors, pourquoi ? Je n’étais pas à l’aise avec cette situation, j’étais presque en train de me dire que je lui mentais alors qu’elle n’était qu’une employé mais je détestais mentir. Je ris quand elle dit que cela ferait plus de mecs pour elle car c’est vrai, c’est un fait. C’est alors qu’elle se mit à fouiller dans les rayons avant que je puisse répondre, c’était mieux comme ça car je ne sais pas ce que je pouvais dire enfin si mais non, je ne savais pas comment allait se dérouler la suite. Elle me présenta alors une robe qui était ample au ventre et blanche, elle était parfaite surement et sans aucuns doutes ce qu’il me fallait. Je lui adressai l’un des plus beaux sourires en attrapant celle-ci ! Elle me demanda alors si j’aimais et je fis un signe positif de la tête, rien de bien méchant. « Merci, je vais l’essayer ». J’attrapais celle-ci en regardant les gens qui passait c’est alors que je vis l’un des gardes de mon père, il me faisait surveiller ? Je n’en savais rien, vous savez les Landros passent inaperçue car ils sont toujours en civile comparé aux Léonidas qui optent pour le look mafieux avec les vestes noir et tout le reste. Je n’en revenais pas si j’étais suivi, je ne m’en étais pas aperçu mais je me cachais tellement de tout le monde. J’attrapai alors Lorena par le bras en l’attirant dans la cabine sans lui laisser le temps de dire « ouf » et je fermais le rideau en regardant par une légère ouverture, elle devrait me prendre pour une tarée, vous ne croyez pas ? Mais on s’en fiche car je ne voulais pas avoir tout le monde sur le dos. « Désolée, les gardes de mon père vienne d’arriver. », je refermai alors le rideau tout en lui souriant bêtement du genre… je suis désolée d’être complétement folle, vous ne m’en voulez pas ? « Je dois paraitre complétement folle mais le fait est que je ne veux pas trop les croiser et si ils m’espionnent, je ne pense pas que je pourrais me contenter de me montrer. »… J’étais du genre têtue et je ne voulais pas qu’il me voit alors qu’il me poursuivi peut-être, c’est dingue ? Je le sais mais regardant si la voie était libre, je les voyais encore à attendre. « Et si l’on faisait diversion le temps que j’essaye cette robe ? »… je devais lui faire peur, peut-être un peu beaucoup mais je haussai les sourcils rapidement en me tenant droite devant elle. « Et ensuite, je payerais cette robe et nous partirons par derrière. [/color] ». Je me contenta de lui lancer un petit sourire en réfléchissant à la suite. « Sushi ? » C’est tout ce que je disais car j’avais envie de sushis, c’est dingue mais bien souvent depuis cette grossesse, des envies soudaine alors que je pense à manger, un repas et pouff… ça vient comme tombé du ciel.
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Lorena K. Grace

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MessageSujet: Re: Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor'   Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor' Icon_minitimeLun 1 Nov - 21:53

Les moments paraissaient plus longs que jamais et pourtant ma patronne ne me reprochait rien du tout aujourd’hui. Cela m’étonnait car d’habitude j’étais encore plus gentille que cela, je ne traitais personne dans l’entreprise et j’avais jamais une gentillesse et la elle était douce comme un agneau. Je souriais quand elle me tirait encore plus vite que l’éclair. Je me retrouvais dans la cabine avec elle, elle m’expliquait des choses, des tas de choses que je ne comprenais pas beaucoup. « Votre père a des gardes ! Et pourquoi ? D’ailleurs pourquoi il vous suive ? ». Franchement qu’elle père ferait suivre leurs enfants, le mien jamais. Surtout que des gardes c’est assez voyant, je passais ma tête par le rideau, personne ne me voyait et heureusement, parce que deux personnes, deux filles dans une cabine ensemble pourrait être étrange et mal vu. Enfin, je regardais et les repérée très vite car il était assez voyant même trop, et je laissais passer un léger rire. Son autre phrase me fit rire, avec mon père, faire diversion sa me connaissait. Je souriais, légèrement. Je sortais de la cabine, lui affichant un dernier sourire et partais. Je fonçais dans un des gardes et le regardais gentiment. Il avait un badge avec son prénom. « Giono !. Je le regardais et lui donnais une claque, je n’avais pas peur de lui alors pourquoi pas faire la bonne actrice et la joué gros.Comment as-tu pu me faire ça. On passe une nuit formidable et tu oublis de me rappeler. Tu ne laisse qu’un billet de cinq euros sur la table. Tu m’as pris pour une pute, en plus cinq euros c’est rien. Je pensais compter un peu plus pour toi dans ta vie, attend que je le dise a ta femme, tu ne vas pas t’en sortir ainsi. . Je m’avançais vers lui, lui redonnant en baffe, puis je fit en sorte de tournais autour de lui, je voyais ma patronne qui sortais du magasin, tout se terminait. Ne m’appelle plus jamais, pauvre type … ». Tous ces collègues rigolaient de lui et je me dirigeais vers la sortie du magasin. Arrivant vers ma patronne je la regardais. Des suhsi, pourquoi pas. « Avec plaisir … ». Je ne savais pas ce qu’elle avait en ce moment mais elle avait tout le temps l’air gentil et vraiment cela devenait de plus en plus bizarre. Je la regardais, et commençait a marché. Passant devant un marchant de milkshake, je m’arrêtais et en prenait un au chocolat avec plein de chantilly au dessus et des copeaux de chocolat blanc, noir et au lait. Je regardais ma patronne qui continuait de marchée. La rattrapant, je souriais et lui tendais un milkshake. « Tenais Mademoiselle Landro, c’est pour vous. ». Exactement le même que le mien, la chose qui fait bien grossir mais pour ma part, je ne mangerais surement pas ce soir. On prenait les escalators et autres choses qui ne nous empêcher de marcher et on arrivait devant le restaurant de sushi. Nous donnant une table, un cuisiner ramenait différent sorte de sushi qui nous séparait l’une de l’autre; ce grand plateau coupait la table en deux et j’étais tout de même en face d’elle, le silence ce crée, je prenais un sushi et buvais en même temps du milkshake. Je souriais de temps en autre, mais le silence se faisait et personne ne voulait l’interrompre apparemment.
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MessageSujet: Re: Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor'   Cachons dans les rayons tant que l'assistance n'y est pas || Lor' Icon_minitime

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